Full text: The collected mathematical papers of Arthur Cayley, Sc.D., F.R.S., sadlerian professor of pure mathematics in the University of Cambridge (Vol. 1)

y- 
0 = -|- f (c-ix) r ~ l e ix dx (8), 
49]' SUR QUELQUES FORMULES DU CALCUL INTÉGRAL. 311 
Je passe à quelques autres applications de ces principes, qui ont rapport à la 
théorie des fonctions T. Soit d’abord r un nombre positif plus petit que l’unité, et 
écrivons 
U = 
e ix dx ; 
on obtient 
e ix dx + 
e ix dx, 
ou enfin, puisque x est positif dans ces deux intégrales, 
U = (r-1)7ri f x r ~ x e ix dx 4- e~% {r ~ l) ni f x r ~ l e~ ix dx ; 
J 0 J 0 
au moyen de la formule connue, 
on en conclut 
savoir 
e ±ix dx = e ± ^ rni Tr, 
U = 2 cos (r — -|) 7T. Tr = 2 sin vit . IV, 
sin tit . IV = ^ 
e ix dx. 
On obtiendrait de même 
e ix dx. 
Au premier coup d’œil, ces équations pourraient paraître en contradiction l’une 
avec l’autre : mais cela n’est pas ainsi, parce qu’il n’est pas vrai que (— ix) r ~ l soit égal à 
(— l) r_1 (ix) r ~ l , (— l) r_1 étant facteur invariable; mais au contraire {-ix) r ~ l = e ±{r ~ 1)ni {ix)^ 1 , 
selon que x est positif ou négatif. 
Dans la première de ces équations, on peut remplacer ix par c + ix, et dans la 
seconde, —ix par c — ix, c étant positif; mais cela n’est pas permis pour c négatif, à 
cause de la discontinuité de valeur de (c + ix) 1 - 1 ou (c - ix) r ~ J dans ce cas, quand x 
passe par zéro. En multipliant la première équation par e~ c , et différentiant un nombre 
quelconque de fois, en admettant, pour les valeurs négatives de r, l’équation 
T (r + 1) = rTr, 
la formule ne change pas de forme, et l’on obtient 
sin virTv. e~ c = -2 (c + ix) r ~ l e ix dx (7) ; 
J — oo 
et de même, au moyen de la seconde équation,
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.