64] SUR LA GÉNÉRALISATION ü’UN THÉORÈME DE M. JELLETT, &C. 389
On déduit de là, en écrivant fx, gy, ... au lieu de x, y, ... , en réduisant à zéro les
quantités a, b, ... , u (ce qui donne aussi y = 0), et en donnant une forme convenable à
la fonction <f>,
(x' 2 + y~...f~^ n dxdy ... 2nr* n s* n ~ 3 ds
(fW + gy ...) 2 ~ T O -2) J o V(s+f 2 ) (s + g 2 )... *
(les limites de l’intégrale au premier membre de cette équation étant données par
x 2 + y 2 ... =1).
Donc, en écrivant
2 = f2a , f (x 2 + y 2 ...f~h n dxdy ...
J J "'J (f 2 x 2 + g 2 y 2 ...) 2
on aura
2 = 2?ri W... f s^ n ~ 3 ds . .
F— 2) J o V(s +f 2 j (s + g 2 )...
Soit 2' ce que devient 2 en écrivant ^, -, ... au lieu de f, g, ... : en écrivant en même
j d
temps - au lieu de s, on obtient
S'— 27r in 1 f 00 srfs ^
_ r - 2)/5r ... J o V(s+/ 2 ) (s+g 2 )... ° ’
et de là, en écrivant
M,
on déduit
p_ -2irl n 1 f x s ds « m
r Qn - 2)fg ... J 0 s +f 2 f( s+ f 2 ) (s+g 2 )...’ ° K
Cela étant, remarquons que l’intégrale
f . - (8)
J o V(s+/ 2 ) (s+g 2 )...
est fonction homogène de l’ordre (2 — 7i) par rapport aux quantités f g, ... (en effet, cela
se voit tout de suite en faisant s = f 2 0). Donc
Jl SL„\ Æ _/a ^ P ds
s+f 2 s + g 2 J V(s+f 2 ) (s + g 2 )... J o s/(s +f 2 ) (s + g 2 )... '
S f 2
ou, en écrivant 7 - a — 1, &c., au lieu de 'F— &c.,
s+f 2 s+f 2 ’
f°° / s s \ ds f 00 ds ^
Jo\s+/ 2 s + g 2 ) \/(s +f 2 ) (s +g 2 )... J o \/(s + f 2 ) (s + g 2 )...