Full text: The collected mathematical papers of Arthur Cayley, Sc.D., F.R.S., sadlerian professor of pure mathematics in the University of Cambridge (Vol. 1)

400 
SUR LES FONCTIONS DE LAPLACE. 
[66 
soit identiquement vraie. Cela suppose que les valeurs de p, p, q soient respectivement 
P + + ..., l' 2 + m' 2 + ..., et IV + mm’ + ..., et que les sommes de produits telles que 
U” + mm” + ..., l’I” + m’m” + ... se réduisent chacune à zéro. De là 
dxdy ... = Vpp’ — q 2 *Jp" ... dgdydÇ..., 
Ix + my + ... =p% + qy, 
Vx + m'y + ... = q% + p'y- 
En représentant par I l’intégrale au premier membre de l’équation (3), cela donne 
I = \fpp’ - <f \!p” ...J (p£ + qrj) s (qÇ+p'yf dÇ dy dÇ..., 
l’équation des limites étant 
p£ 2 + Zq£v + p'y 2 +p"Ç~ + ... = 1. 
Cette intégrale se simplifie en écrivant 
^ Xp + \/p = V ~^p = Vn = Z'> 
car alors 
*Jpp r — q 2 Vp" ... df dy dÇ... = d%, dy / dÇ,. . ., 
pÇ + qv = Vp£, 
qÇ +p'i7 = i (îl + ^PP' ~ q 2 v), 
yp 
et de là 
I=p i ls ~ s ' ] Jf,* (q£, + ^pp - q 2 v,Y dÇ, dy y dÇ,..., 
l’équation des limites étant 
f; + v+- = i- 
En supposant s > s’, l’intégrale s’évanouit pour p = 0, et de même quand s' > s, elle 
s’évanouit pour p' = 0. Donc, en écrivant p = 0, p' =0, on aura toujours, excepté pour 
s = s’, l’équation I = 0 ; ce qui revient à l’équation (3). Au cas de s = s', en écrivant de 
même p = 0, p' = 0, on trouve 
I = q s J V (f/ + ^/) s d% t dy, dÇ,... 
(où, comme à l’ordinaire, i = V — 1). En faisant attention à la valeur de q, et en com 
parant avec l’équation (4), cette dernière équation sera démontrée en vérifiant la formule 
Soient pour cela 
=J V (£/ + ir iy dÇ, dy, dÇ,.... 
%, = p COS 6, y,= p sin 6.
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.