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NOUVELLES RECHERCHES SUR LES COVARIANTS.
165
TS.
KLVii. (1854),
iction des co-
¿y)\
lier où 0 est
nation
131]
Il faut donc que le covariant 0 satisfasse à l’équation
0(ao , > ai,... a n '; x, y) = 0(a o , Oj,... a n ; x + \y, y),
laquelle peut aussi être écrite comme suit :
<f>(a 0 ', ai,...a n '; x-\y, 2/) = 0(a o , (h,... a»; x, y) (Z)
De même, en faisant
(a 0> a n ) (;r, ¡ix + y)’ 1 = (cC, ai',... a„') (#, y) w ,
ce qui donne
N
üi n — a n ,
®n—1 = ®n—1 + ¡X(-l n >
0*11—2 = o n —2 4" 2/z<x n _ 1 + a n ,
&c.
le covariant 0 doit satisfaire aussi à l’équation
0(oo\ Oi', •••Œn'; -/^ + y) = 0(a o , a lt ...a n ; x, y); (7)
et réciproquement, toute fonction 0 homogène par rapport aux coefficients et aussi par
rapport aux variables, qui satisfait à ces équations (X, Y), sera un covariant de la
fonction donnée.
Examinons d’abord l’équation (X) que je représente par 0' = 0. Soit pour le
moment, ai—a 1 = \0L 1 , ai — a a = \a 2 > &c., alors on aura, comme à l’ordinaire, l’équation
symbolique
0 / = g’MASin + a 2 9« 2 ... +a n a «„-2/3*)0 )
où les quantités a lt a 2 , &c., en tant quelles entrent dans a lf &c., ne doivent pas
être affectées par les symboles d ai , d tt2 , &c. de la différentiation. En substituant les
valeurs de a 1) ot 2 , ...,et en ordonnant selon les puissances de A, cette équation donne
0 , = e*Q+* ! q 1 ...+A"Dn-i-A2/a* ( j }>
où les symboles □, Cfi, &c. sont donnés par
□
♦
ç.
= a 0 3a, + 2 a 1 0 Bf
= CZ-o + Sda d a3
... + na n -id an ,
n.n — 1 ^
• • ■ H J 2 2^^)
Ç«-i — ®o )
et les quantités cq, a 2 , &c., en tant qu’elles entrent dans les symboles □, Di, &c., ne
doivent pas être affectées par les symboles 3 ai , 0 ff2 , &c. de la • differentiation. Il est
assez remarquable que l’équation symbolique peut aussi être écrite sous la forme plus
simple
0' = gMD—y9 x ) 0,