tion. [223
224]
5
Or il ne peut
)it donc avoir
pii satisfont à
; en supposant
=°. «x = 0, 224.
,u discriminant
int, et en sup
lís la fonction
SUR UN THÉORÈME D’ABEL. NOTE.
[From the Annali di Scienze Mathematiche e Fisiche (Tortolini), vol. vin. (1857),
pp. 201—203.]
Il y a un petit mémoire d’Abel qui porte le titre “TJeber die Functionen welche
der Gleichung <£ (x) + cf) {y) — yjr lxf{y) + yf{x)^ genugthun” (Crelle, tom. n. (1827), pp.
386—394). La solution du problème est contenue dans les équations que voici, savoir
f{x) est une fonction définie par l’équation
a- n = ( f(x) — næy i+a ' ( f{x) + nxy i ~ a \
et on a alors
4> ( æ ) = n + a ' lo & 0 (/(®) + ™)>
et (en réduisant un peu l’expression donné dans le mémoire)
f(0 = J v iogC Sa (/Ç) + -).
On a aussi pour <£ (x) cette autre expression en forme d’intégrale indéfinie,
J J f(x) + ax
car le facteur aa par lequel dans le mémoire l’expression à côté droit est multiplié
se réduit (comme on voit sans peine) à l’unité. En comparant les deux expressions de
<f> (x), on voit qu’il est permis de prendre l’intégrale depuis x = 0, pourvu qu’on écrive
c = 1 ; cela donne
f dx 1 t x
J Q /(«) + cia ~n + c' lo 8 (/(*) + »*)>
formule très simple pour l’intégration d’une expression algébrique laquelle ne peut
pas s’exprimer à moyen de radicales.