Full text: The collected mathematical papers of Arthur Cayley, Sc.D., F.R.S., sadlerian professor of pure mathematics in the University of Cambridge (Vol. 5)

14 
CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES SUR LES COURBES EN ESPACE. 
[302 
302] 
c’est-à-dire on peut remplacer le cône P = 0 par un cône quelconque qui passe par 
les droites d’intersection des cônes P = 0, (3 = 0. Donc, pour la monoïde cubique, on 
peut prendre pour P + LQ = 0 un système de trois plans, et en prenant pour équations 
de ces plans x — 0, y = 0, z = 0, on peut prendre pour équations de la monoïde cubique 
ou, ce qui 
laquelle et 
xyz 
in = — 
Q ' 
sont les d( 
Comme les coordonnées x, y, z renferment chacune un multiplicateur indéterminé, on 
peut écrire 
Q = x 2 + y 2 + z-+ Plyz + 2mzx + 2 nxy, 
ou, en posant cl' = -, ¡3' = , y = -, cl, ¡3, y étant des quantités quelconques, on peut 
a p 7 
écrire 
Q = x 2 + y 2 + z 2 + (a + a) yz + (/3 + /3') zx + (7 + y) xy, 
Cela < 
sera l’éqm 
et, en élin 
ce qui est la forme la plus commode pour mettre en évidence les droites d’intersection 
xyz = 0, Q = 0. On peut supposer que les équations de ces droites soient 
on obtient 
de w, on 
(1) x = 0, y + ciz = 0, (2) x = 0, ay + z = 0, 
(3) y = 0, z+f3x=0, (4) y — 0, /3z + x= 0, 
(5) z — 0, x + yy = 0, (6) z =0, y x + y = 0. 
devient 
or 
Donc, pour les plans 56, 34, 24, on aura les équations 
a 
(56) z=0, (34) y = 0, (24) x + a/3y + (3z= 0 ; 
donc la pa 
et de là l’équation 
AQ 2 + Qz [By + G(x + a/3y + /3z)] + Dz 2 y (x + 0L/3y -1- ¡3z) = 0 
c’est-à-dire 
sera celle d’un cône du quatrième ordre qui passe par les droites 2, 3, 4, 5, 6 et a 
les droites 4, 5, 6 pour droites doubles ; et comme cette équation contient les trois 
quantités arbitraires A : B : G : D, ce sera l’équation la plus générale qui satisfait aux 
conditions dont il s’agit : c’est-à-dire cette équation sera celle du cône U = 0. 
- / 
Les équations de la droite 12 sont x = 0, w = 0 ; pour obtenir celle de la droite 
13, j’observe que l’équation du point 13 est 
et l’équatic 
ou enfin 
a/3x + y + az = 0, 
et je forme l’équation identique 
ce qui est 
Q = (cLpx + y 4- az) [(7 + y - cl/3) x + y + a'z] + /3' (1 — a/3y) (1 - a/3y’) x(z+ /3œ), 
laquelle se vérifie sans peine. Donc, en écrivant 
ci/3x + y + clz = 0, ou y = — a {z + /3x), 
On po 
l’équation w = devient 
— clx (z + ¡3x) z — a/3z 
W /3' (1 — ct!3y)(\ — cc/3y) x(z + ¡3x) ’ (1 — a/37) (1 — a fiy) ’ 
savoir :
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.