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DE COURBURE ET SUR LA THÉORIE DE DUPIN.
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On vérifie sans peine les équations fondamentales, en prenant ® = h — k,
— (c — a) (a — b) x 2 = a (a + h) (a 4- k),
— (a —b) (b —c)y i = b (b 4- h) (b + k),
— (b—c)(c—a)z 2 = c(c + h) (c + k) ;
ce qui donne les courbes de courbure de l’ellipsoïde ^ + ~ = 1 5 l’ellipsoïde étant,
comme on sait, une surface divisible en carrés par des courbes de courbure ; mais je
n’ai pas encore cherché d’autres solutions.
Je remarque que l’équation pour x peut s’écrire sous la forme
donc, en posant
on trouve
ce qui donne
di 1 dx\ d / 1 dx\ _
dh V® dJc) + dîc dh) ~ ° ’
dii dx\ _ d /1 dx\ _ d 2 fl
dh l® dk)~dJc{ëdh) == Wdk’
dx „ dd dx „ dd
= (h)
dh dh’ dk dk’
d /„ dd
(H)
dk[ dh
+
dh
®
dd
dk
= 0,
équation pour iî de la même forme que celle pour x.
On déduit une démonstration très-simple du théorème de Dupin. En considérant
comme auparavant (x, y, z) comme des fonctions données de (h, k), le point (x, y, z)
sera situé sur une surface, et les conditions pour que les courbes de courbure soient
h — const., k = const. seront
dx dx
dh dïc +
dydy
dh dk
dz dz
dh dk
dx
dy
dz
dh ’
dh ’
dh
dx
dy
dz
dk ’
dk ’
dk
d 2 x
d 2 y
d 2 z
dh dk ’
dhdk ’
dh dk
Cela étant, en introduisant un troisième paramètre l, soient h, k, l des fonctions
données de (x, y, z), ou réciproquement (x, y, z) des fonctions données de (h, k, 1). On
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