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SUR LA SURFACE DES ONDES.
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20. Équation différentielle des courbes de courbure de la surface. En partant
de l’équation
dX, dy, dv
dx, dy, dz
\ \ , y , V
= 0,
ou plus simplement des équations
d\ : dy : dv = dx : dy : dz,
équivalentes à cette première équation, on déduit
(xdX + ydfi + zdv) (aXdx + bydy + cvdz) - (xdx + ydy -{■ zdz) (aXdX + bydy + cvdv) = 0,
c’est-à-dire
dv
F [— tJvdÇ + ^L) + dtj (du + dv) = 0,
wv V Nv>
ou enfin
dvdrj + vdndtj = 0,
laquelle est la forme la plus simple de l’équation dont il s’agit.
21. On a ici
b (£- — AÇ + B) — G v — a.v — b.v — c
v ~ ’ U ~ V v(v-Ç) ’
et il s’agit de substituer ces valeurs dans l’équation différentielle. J’écris pour un
moment
H U
y = . U =
où. l’on a
l’équation devient
v-%’ v-%'
H = v(?-A!;+B)-C i
U = — vtj + Av — ¿? + - ;
et l’on trouve
— ( v “ ï) {'dHdv + vdÇdU] + (dv — d%) (Hdv + vud£) = 0,
dH = (| 2 — Ai; 4- B) dv + (2% —A) vd£,
C
dTJ = ( — £ + A —i\dv —
vd%,
et en substituant ces valeurs, on obtient
{ v *(v-Ç)-vU} d?~ j(v- f) ^v-^-vU+H^dvdÇ + {-(v-Ç)(?-AÇ + B) + H}dv 3 = 0.
Le coefficient de d%- est v 3 — Av* + Bv — G, c’est-à-dire v — a.v —b.v — c] de même,