nous obtenons la
relation (3).
enfin le cas où
es est positive et
par exemple, a'm'
gative.
avons
: am — a m
— x — h,
= k-\-x',
ces valeurs dans
nous obtenons
m (2) ou la rela-
ntiel de le redire,
ssaire de faire ce
tracent sur L et
ement simple qui
plan orienté (I, 54)
r droites variables
3, D') soit constant
signe, par exemple
l=V,
donné.
nt de rencontre des
' celui des droites
~cr que les points
ur L et L' des divi-
ques.
ur la droite L un
e m, et traçons
î seule droite T)',
Cette droite D' rencontre L' en un seul point m'.
2° Prenons sur la droite L' un point arbitraire m', et traçons
la droite Pin' ; il existe une seule droite D passant par le point P
et telle que l'on ait
(D, Pm') — V, ou (Pm', D) — — V.
Cette droite D rencontre L en un seul point m.
3° La droite D', définie par la relation (1). peut se construire
avec la règle et le compas; donc (15) les abscisses de m et m'
sont liées algébriquement.
Le théorème est donc établi.
Nous supposerons d’abord A 0.
De cette relation on tire
limite
20. Points limites. —Revenons maintenant à deux divisions
homographiques quelconques ayant pour bases les droites L, 1/
et définies par la relation homographique
Axx' + Bx 4- Cx' + D — 0.
D C
Quand x augmente indéfiniment, — et - ont pour limite zéro
et par suite x' a pour limite —
Désignons par y 7 le point de la droite U qui a pour abscisse
On dit que le pointy' est l’homologue sur L'du point à
l’infini de L.
De même, on a
D
Cx' 4- D ^ x
et 1 on voit que lorsque x' augmente indéfiniment, x a pour
C
A
Le point i de la droite L qui a pour abscisse — est l'homo
logue sur L du point à l’infini de U.
On dit aussi que les points i et j’ sont les points limites.