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viennent un peu plus grandes. Nos densités se trouvent généralement un peu 
inférieures à celles de Gay-Lussac; comparées à celles de Gilpin nos densités 
se trouvent presque toujours entre celles trouvées par lui sans correction et les 
mêmes corrigées; la concordance est celle à laquelle on peut s’attendre dans ces 
sortes de déterminations, vu la grande influence de la température; si le ther 
momètre de Gilpin et le nôtre ont différé d’un quart de degré centigrade, ou 
si pendant la pesée la température de la liqueur a différé d’un quart de degré 
plus ou moins de 15° G., la concordance entre nos résultats et les siens sera 
absolue. Pendant nos expériences nous avons contrôlé plusieurs fois le zéro 
de notre thermomètre et nous l’avons toujours trouvé constant. 
Nous observons encore que Gilpin n’a pas fait de déterminations avec des 
mélanges, contenant plus de 90 volumes d’alcool sur 100 volumes du mélange, 
et qu’ainsi les densités de l’alcool absolu et des mélanges contenant 95 volumes 
d’alcool, qui montrent une plus grande différence, ne sont pas celles de Gilpin, 
mais celles que Tralles a calculées. 
TABLE IV. 
VOLUME 
d’alcool 
SUR 100 
VOL. DU 
MÉLANGE. 
DENSITÉ 
GILPIN 
15°.55 C. 
CORRECTION POSITIVE 
DENSITÉ 
GAY-LUSSAC 
15° C. 
DENSITÉ 
V. BAUM HAUER 
ET 
VAN MOORSEL 
15° G. 
TOUR. 
0°.55 C. 
POUR LA 
PESÉE DANS 
l’air. 
100 
0.7939 
0.0004 
Q.0002 
0.7940 
0.79411 
95 
8157 
4 
2 
8161 
81592 
90 
8332 
4 
2 
8339 
83384 
85 
8488 
4 
2 
8495 
84979 
80 
- 8631 
4 
2 
8638 
86359 
75 
8765 
4 
1 
8772 
87696 
70 
8892 
4 
1 
8899 
88970 
05 
9013 
4 
1 
9019 
9016S 
60 
9126 
4 
1 
9133 
91310 
55 
9234 
4 
1 
9240 
92391 
50 
9335 
3 
1 
9340 
93382 
45 
9427 
3 
1 
9432 
94272 
40 
9510 
3 
9515 
95117 
35 
9583 
3 
9587 
95352 
30 
9646 
2 
9648 
96458 
25 
9700 
2 
97004 
20 
9751 
2 
97508 
15 
9802 
1 
9 S 018 
10 
9857 
1 
98572 
5 
9919 
1 
99] 95 
0 
9991 
99913