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dernier tuyau , près duquel il était placé; et lorsque ma montre
marquait i5" ou 45", je lui répondais par un coup semblable.
Nous observions en outre, l’un et l’autre, l’arrivée des sons qui
nous étaient envoyés, et on notait les époques. Nous avions
d’ailleurs une très-grande attention à frapper juste à la seconde
déterminée ; et avec un peu d’habitude on y parvient très-
facilement , comme le prouve la série même de nos observa
tions. Or, quelle que soit la différence des montres, quand
même elles seraient variables , pourvu qu’elles ne changent pas
sensiblement dans l’intervalle de 3o", elle se détruit exactement
quand on prend la moyenne de deux observations consécu
tives, et le résultat en devient tout-à-fait indépendant. Car,
supposons que le premier chronomètre avance sur le dernier
de la quantité r; soit p le temps de la propagation du son par
le corps solide. Lorsque le premier observateur frappe le coup
à o" de sa montre, l’autre lit sur la sienne o"— r; et par con
séquent p — r indique , avant ou après o", l’époque à laquelle
il reçoit le son. Au contraire, quand le second observateur
frappe à 3o", le premier observateur marque déjà 3o"-{-r;
et par conséquent p -f- r indique au-delà de 3o", l’époque à la
quelle il reçoit le son transmis. Les quantités p — r et p -J- r
sont donc données par ces observations simultanées , et la moi
tié de leur somme fait de suite connaître le temps de la pro
pagation p , à travers le métal, indépendamment des écarts des
deux montres, et plus exactement que par l’observation directe.
Dans les expériences que j’ai faites, la série des quantités
p — r et p +ra été telle qu’on la voit dans les deux colonnes
ci-jointes.