AVEC UNE CONDUCTIBILITÉ PARFAITE. 4gl
comme conducteurs imparfaits de l’électricité, peuvent opposer
à sa communication, ür le système étant isolé, l’excès de la pièce
supérieure c 2 ne peut s’acquérir qu’axix dépens des autres pièces.
Pour connaître l’état d’équilibre qui en résultera , nommons x
la quantité d’électricité libre que possédera c 2 ; s, aux-a donc
aussi x, et c x aura x— a. La somme 3 x — a doit être nulle ,
puisque ces quantités proviennent d’une décomposition d’élec
tricité Tiaturelle. Cette condition donne x = ^ ce,
et parconséquent c a = -{- | ce
z t -j- f **
Si nous ajoutons une quatrième pièce z 2 qui sera de zinc, il
faudra qu’elle ait « de plus que la pièce de cuivre <? 2 , avec la
quelle elle sera en contact. Soit x la qxxantité d’électricité libre
qu’elle possédera , l’état des autres pièces sera x — «s; x — « ;
x— 2 a ; et la somme l±x—4 a devant être nulle, il viendra
xz=za, ce qui donne pour l’état d’équilibre
*»= + «
— o
Z l — O
e t = — *.
Dans ce cas , les deux pièces intermédiaires z t et c 2 seront l’xxne
et l’autre à l’état naturel.
Généralement soit x la quantité d’électi’icité vitrée libre qui
existera sur la face zinc de la dernière pièce, lorsque le nombre
des couples métalliques sera n. La suite de ces quantités forme
pour les faces zinc la progression arithmétique
x x — a x — (n — î ) a,
dont le nombre des termes est n. La somme sera donc
n . (ji — î ) a,
n x — .
2
Les quantités d’électricité libres sur les faces cuivre , formeront
une autre progression arithmétique dont, chaque terme sera
moindre de ce que cexix de la série précédente ; c’est-à-dire
x — « x —■ 2 <* x. 3 a
x
n X.