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DE LA DOUBLE RÉFRACTION.
d’Islande, et calculant numériquement la marche des rayons.
Selon ses observations , le grand axe de l’ellipsoïde que nous
avons nommé 2 a est au petit axe que nous avons nommé 2 è,
comme io5o32 esta g34io; en outre, il assigne pour la
constante de la réfraction ordinaire le rapport de 5 à 3, ce qui
donne b •=. y — o,6oo, et par suite a := 0,6746. Ces nombres
s’accordent parfaitement avec ceux de Malus, et il en est ainsi
de tous les autres qu’a donnésHuyghens. On peut donc s’étonner
que Newton ait méconnu la justesse de cette théorie. Mais c’est
qu’Huyghens, quoique l’ayant probablement déduite de l’expé
rience, l’avait liée à des idées hypothétiques qui répugnaient
à la philosophie sévère de Newton. C’est M. Wollaslon qui le
premier a senti l’importance de cette loi, et reconnu son exac
titude. Malus a depuis confirmé cette importante remarque;
et la découverte d’Huyghens, liée par M. Laplace aux principes
de la mécanique, est aujourd’hui la base de toutes nos recherches
sur la double réfraction.