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offrir toutes les périodes imaginables, depuis le commencement
jusqu’à la fin. Construisons donc , pour chacune d’elles , la
série des accès suivans , tels qu’ils se continuent à partir de la
surface réfringente SS, fig. 22, et examinons ce qui devra
arriver lorsqu’une seconde surface se présentera successivement
à diverses distances de la première.
Pour commencer par un cas extrême, je supposerai d’abord
que le milieu contigu à cette seconde surface soit tel que la ré
flexion s’opère sur toutes les molécules lumineuses qui se pré
sentent à elles dans une partie quelconque d’un accès de facile
réflexion. Cette possibilité, comme on l’a vu plus haut, ne
dépend que du rapport qui existe entre les forces réfringentes
du corps et du milieu contigu. Alors si, dans notre construc
tion , l’on fait mouvoir une ligne S' S' parallèlement à S S,
pour représenter la limite de la seconde surface , il est évident
que la réflexion ne sera jamais totalement nulle, quelque petite
épaisseur que l’on donne au corps réfringent, à moins que cette
épaisseur ne soit tout-à-fait nulle elle-même. Car du moment
où la ligne S' S' s’écartera de S S, il y aura un certain nombre
de molécules lumineuses qui seront en état d’être réfléchies. Ce
nombre, d’abord fort petit, augmentera progressivement à
mesure que S' S' s’éloignera de SS, jusqu’à ce qu’enfin cette
ligne, étant arrivée en I t à une distance de la surface égale à
la longueur i d’un accès, toute la lumière transmise se trou
vera à l’état de facile réflexion, et par conséquent la réflexion
sera totale. Mais cela n’aura lieu qu’à cette distance précise ;
car du moment où S'S' s’éloignera davantage de S S , il y aura
un certain nombre de particules qui passeront à l’état de facile
transmission , et qui échapperont dès-lors aux forces réfléchis
santes, puisque nous avons limité la possibilité de la réflexion
à celles qui se trouvent dans une phase quelconque de l’état
contraire. Ainsi la proportion de lumière réfléchie diminuera
graduellement à mesure que S'S' s’éloignera de I,, et enfin elle
deviendra nulle en I 2 , à une distance 2 i de la première sur
face. Depuis ce terme, la réflexion commencera de nouveau à
augmenter suivant les mêmes périodes ; elle sera totale en ï 3 ,
Томе IV. n