iSiBiSSIOÎT
ET DE FACILE REFLEXION. U 7
at uaitre detain
: leurs facultés cok
que les unes se trouvant dans un accès de facile transmission,
les autres seront dans un accès de facile réflexion. Le nombre
! nous avons déjà a
qui donne celte inversion d’état peut être déterminé par cet
lire que si le milk
mince; car, s’il of
lumineuses les ■
ou quinze accès,I'd
)nstant,aumoicsf!
onjours de même ci
:as de la réflexion i
énoncé même, car en le désignant par x , il faudra qu’on ait
(x —~ l) C.68l4 . 0 t?£?Q
ex~- ; ■ , d ou 1 on tire x — 10,2000.
63oo
On voit par là que l’opposition d’état entre les molécules vio
lettes les plus réfrangibles et les moins refrangibles sera complète
quand les premières auront éprouvé treize accès et un quart
environ. Ainsi, à cette distance du corps rayonnant, il y aura
des particules violettes intermédiaires entre les précédentes ,
rappeler que, (ta
ie étendue est occi
e autre par le Wen, -
rincipales; cest-i-c
ursn'estprigourf
bj dune réfrangibi
jcitée par ^ esra f‘
, avec une simili 1 *
5 , D’après cela,«
nation, considérer
Comm«>Ç ons d° DC i
iolet» par e^P 1 ' 1
ne uniquement les :
• e |a sensation de«
particules s èc¥
!ans la n^ e P
rré/rangi^ 1 ^
. et si celle* 5 ?
e ,,№
gibles sera -gg
. corps h»*»
auront prouve
i certain no®^
ia ùve entière) £>
qui se trouveront dans toutes les phases possibles des deux
genres d’accès. Si donc une surface réfléchissante se rencontre
sur leur passage à cette distance, pourvu que sa force répulsive
ne soit pas tout-à-fait nulle, il y aura un certain nombre de
particules violettes qui subiront la réflexion , les autres subis
sant la transmission.
Ce résultat peut être rendu sensible par la même construc
tion que Newton a employée pour représenter les rapports des
épaisseurs des corps avec les couleurs qu’ils réfléchissent,
fig. i3. Il suffit d’y considérer les divisions 1 3 , 3 5 de
chaque ligne verticale, comme représentant les longueurs des
accès des particules lumineuses auxquelles cette verticale ap
partient. Dans le cas particulier que la figure représente, le
point commun de départ des particules lumineuses se trouve
fixé en ZR, au milieu d’un accès de transmission, et chacune
des divisions égales comprises entre deux lignes transversales
00' ii', n' 22'; 22' 33'. . .. représentent la longueur d’un
demi-accès. Alors la valeur trouvée pour x doit se placer entre
la 26 e et la 27 e divisions de la première colonne. Or si, par ce
point, 011 mène une ligne parallèle à l’axe Z R, on voit qu’en
effet elle coupe la verticale U U' presque exactement sur la
transversale 2.4,2''4' ; c’est-à-dire qu’à cette distance du point
de départ, les molécules violettes les plus réfrangibles sont
revenues presque au milieu d’un accès de facile réflexion , tan
dis que les moins réfrangibles, ayant éprouvé une alternative