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l’observation des nuances dans lesquelles il se change quand
les plantes viennent à se flétrir. De même , si la teinte pro
posée est un beau bleu , il n’y aura de choix qu’entre le second
ordre et le troisième ; car ce sont les seuls où le bleu soit assez
séparé des autres couleurs pour être net et intense. Les chan-
gemens chimiques décideront ensuite entre ces deux ordres-là.
Prenons pour exemple les couleurs du sirop de violette que
les acides changent en un beau rouge , et les alcalis en un beau
vert. Il est clair que cette série de nuances convient parfaite
ment au troisième ordre , mais nullement au second ; car si le
bleu de celui-ci remonte au rouge , ce ne peut être qu’au
rouge du premier ordre , qui est sombre et mordoré, parce
que c’est presque le pur rouge extrême du spectre ; et s’il des
cend au vert, ce vert appartenant au second ordre , doit être
blafard et imparfait. Or ce dernier caractère surtout est bien
loin d'être conforme à ce que présente la couleur bleue du sirop
de violette : on doit donc le placer dans le troisième ordre ?
comme l’a fait Newton.
On doit aussi rapporter aux rouges de cet ordre ceux des
diverses espèces de roses. Celui des roses ordinaires a beaucoup
de rapport avec la teinte que Newton a désignée par le nom
de rouge bleuâtre. On trouve toutefois des couleurs végétales
dans d’autres ordres. Par exemple, la couleur de la paille sèche
est évidemment le jaune du premier ordre, et celle des lys en
est le blanc. La couleur que Newton appelle violet dans le se
cond ordre, ressemble beaucoup à la partie la plus foncée et
la plus sombre de la pensée. Cette teinte est la seule de ce genre
dans toute la série des anneaux.
Le bleu du premier ordre est toujours très-faible et très-
léger , parce que, dès qu’il commence à être sensible , il tend
à se pâlir par le mélange de toutes les autres couleurs. « Il sem
ble , dit Newton , que l’azur des cieux doit être de cet ordre;
car telle est la nature de toutes les vapeurs , que lorsqu’elles
commencent à se condenser et à s’unir en petites parcelles, elles
acquièrent la grosseur qui est propre à réfléchir un tel azur,
avant que de peüYoir composer des nuées d’aucune autre cou-