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fin d’un accès de facile transmission, la première de RS' qui 
lui succède doit répondre à un accès de facile réflexion; et 
généralement, à partir du point R, les divisions correspon 
dantes de RS et de RS' répondront à des modifications op 
posées , comme le représente la figure ; de sorte que la molé 
cule lumineuse, revenue en S' à la première surface, se 
retrouvera au commencement d’un accès de facile transmission, 
et conséquemment elle sortira de la plaque précisément comme 
elle y était entrée au point S , c’est-à-dire, suivant une direc 
tion également inclinée à la surface S S'. 
Maintenant considérons toutes les divisions de R S et de R S' 
comme autant de portions d’une chaîne continue qui peut cou 
ler librement dans trois anneaux fixes placés en S, en R et en S'. 
Si vous tirez la chaîne dans le sens RS, la molécule , en en 
trant dans la plaque , ne se trouve plus au commencement d’un 
accès de facile transmission , mais dans une des phases de cet 
accès ; et tout le reste de la chaîne suivant de même sans se 
désunir, l’accès de facile réflexion, qui détermine la molécule 
à se réfléchir en R, commencera avant qu’elle y arrive ; et enfin 
le dernier accès de facile transmission , qui la détermine à 
sortir en S', commencera avant sa sortie. En continuant ce 
mouvement de la chaîne dans le même sens, on voit que chaque 
molécule qui pénètre la plaque eu S, dans une des périodes 
quelconques d’un accès de facile transmission , devra se réflé 
chir en R, et sortir de nouveau en S' par la première surface. 
Mais au lieu de donner à la seconde surface de la plaque une 
force réfléchissante aussi énergique que nous venons de le sup 
poser , donnons-lui-en une très-faible, et telle qu’elle ne puisse 
réfléchir que des particules très-voisines du milieu d’un accès de 
facile réflexion. C’est le cas de la plupart des corps transpa 
rais, dans les incidences peu éloignées de la perpendiculaire, 
comme nous l’avons déjà remarqué. Dans cette supposition , 
toute particule qui sera entrée en S par la première surface de 
la plaque, ne se réfléchira plus nécessairement à la seconde, 
quoique, d’après l’épaisseur que nous avons supposée, elle y 
parvienne dans un accès de facile réflexion. Celles-là seules