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PAR DES PLAQUES EPAISSES. iSg
suivant les mêmes principes par lesquels il s’en forme dans les
lames minces, avec les seules modifications dépendantes de
la différence des épaisseurs.
Pourmettre ceci dans tout son jour, soient, fig. 29, AB, A'B'
les deux surfaces concentriques du miroir, et CIR le faisceau
incident que nous supposerons d’abord très-mince, et dirigé
suivant leur axe commun. Isolons, par la pensée, une des espèces
de lumière simple dont ce faisceau se compose, par exemple, les
molécules violettes les plus réfrangibles, et suivons leur marche
dans l’intérieur de la plaque, soit avant, soit après la ré
flexion.
Il faut premièrement considérer que ces molécules, quoique
de même nature, étant émanées tant de la surface du soleil que
d’une petite profondeur dans sa substance , comptent leurs
accès à partir de différentes origines, ce qui fait qu’eu arrivant
au même point de l’espace, elles ont des dispositions inégales
à la transmission et à la réflexion. Conséquemment, lorsqu’elles
arrivent en I à la première surface du miroir , un certain
nombre d’entre elles doivent être réfléchies directement suivant
IC, et revenir passer par le trou C. Les autres , traversant
cette surface, sont toutes amenées par les forces réfringentes
à l’état de facile transmission , mais à des degrés divers , selon,
qu’elles y étaient plus ou moins disposées. C’est pourquoi, en
arrivant à la seconde surface, un certain nombre seulement
cède aux forces réfléchissantes qui en émanent, et revient
en arrière ; le reste est transmis ou absorbé. Mais parmi celles
qui sont réfléchies, les unes le sont régulièrement, et retournent
en RI, selon leur direction primitive d’incidence ; les autres, au
contraire, subissant la réflexion irrégulière, se disséminent et
se dispersent de toutes parts , à partir de leur point commun de
réflexion. Parmi ces dernières, nous pouvons nous borner à
considérer celles qui s’écartent très-peu de leur direction pri
mitive, car ce sont, comme on le verra tout-à-l’heure, les
seules qui puissent former des anneaux distincts et sensible
ment colorés. Alors, à cause du peu d’intensité de la réflexion
irrégulière produite par le verre , soit nu , soit étamé ,les seules
molécules réfléchies entre ces limites seront celles qui, à leur ai-