Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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PAR DES PLAQUES ÉPAISSES. 169 
angle au centre le diamètre apparent du soleil. Chacun des 
rayons qui en faisait partie, produisait donc sur le miroir 
son impression particulière, et formait à la seconde surface un 
centre de rayonnement , duquel partaient des anneaux. Or , 
pour que le phénomène puisse être observé, il faut que tous 
les anneaux de même ordre , ainsi émanés de divers points , ne 
se répandent pas de toutes parts sur le carton, mais soient 
concentrés après leur émergence, et convergens vers un même 
cercle qui les rassemble tous. Cette condition détermine la dis 
tance du trou à laquelle il faut placer chaque espèce de plaque, 
quand les courbures de ses deux surfaces sont données. Par 
exemple, si ces deux courbures sont concentriques, comme 
elles l’étaient dans la plaque dont Newton faisait usage, il faut 
que le trou d’où les rayons divergent soit placé à leur centre 
commun. 
Pour démontrer ceci de la manière la plus simple, ne consi 
dérons d’abord que deux rayons incidens , fig. 3o : l’un C I , 
dirigé suivant l’axe même de la plaque; l’autre Ci, formant 
avec le premier un très-petit angle a. Si le trouC, d’où ces 
rayons divergent, est situé au centre commun de courbure des 
deux surfaces , ils pénétreront l’un et l’autre la plaque perpen 
diculairement ; et en représentant par R P , ri' les directions des 
molécules réfléchies, qui, étant comprises dans le même profil, 
forment des anneaux de même ordre, les angles P RI , l'ri 
seront égaux entre eux, ainsi que les angles I'TI, i’ ti, formés 
par chacun des rayons émergens avec son axe d’incidence. 
Faisons pour le premier I'TIr= I, et représentons par ç le 
demi-diamètre I'I de l’anneau qui, à cause de sa petitesse, peut 
se mesurer sur la surface concave du miroir comme sur un 
plan ; on aura de même pour l’autre rayon i 1 1 i = I ; i' i ~ ç ; 
et conséquemment, si l’on prolonge sa direction d’émergence 
jusqu’à sa rencontre avec CI en T', l’angle 1 T” I que nous 
nommerons P,.sera égal à I — o>. Cela suffit pour trouver les 
équali ns des deux rayons émergens I"P , i" i' ; car si on les 
rapporte à deux coordonnées rectangulaires 30, y, comptées 
du point I, la première suivant IC , la seconde suivant la tan-
	        
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