Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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PAR DES PLAQUES EPAISSES. i83 
inème plan, comme ils le sont dans la réflexion régulière; mais 
cela n’est point nécessaire à leur émergence. Toutes les molé 
cules dont il s’agit se trouveront, après la réflexion, sur une 
surface conique droite, engendrée par la rotation du rayon 
réfléchi RI' autour de la normale RC; et , après leur émer 
gence , elles se trouveront sur une autre surface pareille , en 
gendrée de même par le rayon émergent I' S'. L’intersection 
de cette seconde surface par le carton A B sera , à la rigueur, 
une ellipse ; mais si , comme nous l’avons supposé , l’obliquité 
d’incidence est fort petite, l’ellipticité sei’a si faible , que l’inter 
section pourra être considérée comme circulaire. Alors toute es 
pèce de lumière comprise dans le faisceau incident donnera par 
réflexion un anneau de sa couleur, qui tombera sur ce cercle ; 
par conséquent, si le faisceau est composé de lumière blanclie, 
la superposition de tous ces anneaux produira un cercle blanc, 
dont le centre sera situé en C, au centre de concavité de la 
plaque , et dont le diamètre SS' sera égal à l’intervalle qui. 
sépare sur le carton le trait incident du trait régulièrement ré 
fléchi ; de sorte que ces deux traits, plus vifs que tout le reste 
de l’anneau, sembleront lui être adhérens, comme deux parhé- 
îies. La blancheur parfaite de l’anneau ne doit évidemment 
s’appliquer qu’à son contour, considéré comme une ligne sans 
largeur ; car dans l’intérieur de l’anneau il pourra, il devra 
même en général se produire d’autres teintes que nous déter 
minerons. 
Mais auparavant il faut examiner celles qui doivent paraître 
en dehors de l’anneau, au-delà des traits incidens et réfléchis. 
Les principes qui les déterminent sont exactement les mêmes 
dont nous avons fait usage dans les premières expériences , 
pages 15g et 160. Chaque molécule qui est réfléchie plus oblique 
ment qu’elle n’était entrée,suivant Ri', par exemple, éprouve à 
la fois des accès plus longs, et parcourt un trajet plus considé 
rable. Mais comme l’accroissement de longueur des accès l’em 
porte , il s’ensuit qu’au-delà d’une certaine obliquité , elle se 
trouve assez éloignée de son état de transmission primitif, pour 
qu’à son arrivée en i' elle soit renvoyée en dedans du verre par
	        
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