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PAR DES PLAQUES ÉPAISSES. i$J
saurait trop admirer. Je ne puis mieux faire que de transcrire
ici ses propres expressions (i).
» Lorsque le trait de lumière solaire était réfléchi, non pas
directement vers le trou fait au volet de la fenêtre, mais sur
un endroit qui en fût un peu éloigné , le centre commun de la
tache blanche et de tous les anneaux colorés tombait à mi-
chemin entre le trou et le trait de lumière régulièrement réflé
chie , par conséquent, dans le centre de courbure du miroir ,
toutes les fois que le carton sur lequel tombaient les anneaux
colorés était placé dans ce centre-là. Et comme, par l’inclinai
son du miroir, le trait de lumière réfléchie s’éloignait de plus
en pins du trait de la lumière incidente et du centre commun
des anneaux colorés qui était entre deux, ces anneaux allaient
toujours en augmentant, aussi bien que la tache blanche orbi-
culaire : de leur centre commun, il sortait successivement de
nouveaux anneaux colorés; et la tache blanche devenait un
anneau blanc qui entourait ces nouveaux anneaux, et les traits
de lumière ineidens et réfléchis tombaient toujours sur les par
ties opposés de cet anneau blanc , illuminant sa circonférence
comme deux parhélies qui se trouveraient dans les parties
opposées d’un arc-en-ciel. Ainsi le diamètre de cet anneau,
mesuré depuis le milieu de sa lumière d’un côté jusqu’au milieu
de sa lumière de l’autre côté, était toujours égal à la distance
du milieu du trait incident au milieu du trait réfléchi, mesurée
sur le carton où paraissaient les anneaux. Du reste, les rayons
qui formaient cet anneau étaient réfléchis par le miroir sous
des angles de réflexion égaux à leurs angles d’incidence, et
par conséquent aussi égaux à leurs angles de réfraction, en
entrant dans le verre (2) ; mais leurs angles de inflexion n’étaient
, précédente.^
trop éu« ii!
de la déveIopl )f!
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(1) J'ai été obligé de rectifier ici en plusieurs points la traduction de
Uoste, que j’emploie ordinairement pour les citations. 11 lui était en effet
impossible de rendre ici le vrai sens de Newton, qu’il ne comprenait pas.
(■1) Cette dernière égalité n’est qu’approchée. Elle tenait an pen de diffé
rence de courbure des deux surfaces, dans les points où chaque ,1’ayon
incident se réfractait et se réfléchissait.