Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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PAR DES PLAQUES EPAISSES. 
Cette expression nous apprend qu’en employant toujours le 
même miroir, les diamètres des anneaux de même couleur et 
de même ordre sont réciproques aux racines carrées des dis 
tances de la lame à sa surface. Le duc de Chaulnes n’a pas rap 
porté de mesures propres à constater cette loi ; mais du moins 
l’influence qu’il attribue à la distance de la lame au miroir est 
telle que l’indique notre théorie. 
On voit aussi que cette distance restant la même , les dia 
mètres des anneaux sont directement proportionnels aux cour 
bures des miroirs. Nous avons vérifié cette indication par l’ex 
périence , comme nous le verrons plus loin. 
Quand on voudra calculer numériquement les diamètres fies 
anneaux pour un cas donné, il faudra mettre pour i la lon 
gueur des accès dans l’air, pour chaque espèce de molécules 
lumineuses que l’on voudra considérer ; et si la lumière inci 
dente est composée , il faudra prendre pour i la valeur qui 
convient aux rayons limités de l’orangé et du jaune, ce qui 
rendra les résultats comparables aux diamètres des anneaux 
dans leurs parties les plus brillantes. Ce calcul est exactement 
le même que nous avons fait page i65. 
Tout ceci suppose le miroir placé à une distance de l’ouver 
ture , telle que les rayons réfractés par la lame lui parviennent 
perpendiculairement. Cette distance a pour expression géné 
rale A -j- e -f- e ; et en mettant, au lieu de A, sa valeur ci- 
dessus déterminée, elle se réduit à 
a -f- 
Elle est donc constante pour toutes les positions de la même 
lame au-devant du même miroir. 
Dans les expériences du duc de Chaulnes, la lame interposée 
était une simple feuille de mica, dont l’épaisseur e' devait être 
fort petite comparativement au demi-diamètre «, qui avait dix 
pieds de longueur. Alors le terme 
0- 
ne pouvait avoir 
aucune influence sensible sur l’apparition plus ou moins dis-
	        
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