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PAR DES PLAQUES ÉPAISSES), 22 5
inégale. Elle était fort vive parallèlement au grand côté AB du
rectangle, fig. 45, et très-faible, même presque insensibleparal-
lèlement aux petits côtés. Cela se conçoit très-bien, en considé
rant que tous les pinceaux de rayons infiniment minces qui.
arrivaient au miroir par le diaphragme, produisaient à leur
retour des anneaux d’égale grandeur, ayant pour axe parti
culier l’axe même du pinceau à son incidence. Or, de tous les
pinceaux ainsi réfléchis, il n’y avait presque que ceux qui se
dirigeaient dans l’axe du miroir, dont les anneaux pussent tra
verser entièrement le diaphragme. Pour les autres, qui tom
baient plus haut ou plus bas, la partie de leurs anneaux paral
lèle aux grands côtés du rectangle était presque aussitôt ar
rêtée par la matière même de la plaque, et par conséquent ne
recouvrait point les premiers; au lieu que ce recouvrement
s’opérait dans la partie des anneaux qui était: parallèle aux petits
côtés du rectangle. En outre, les molécules qui allaient à ces
parties des anneaux passaient, pour la plupart, fort loin des
extrémités AA, B B du diaphragme , et presque dans la ligne
intermédiaire entre les grands côtés AB; deux circonstances
qui devaient atténuer l’effet des forces répulsives qui agis
saient sur elles, et par conséquent faire qu’un très-petit nombre
étaient réfléchies une seconde fois vers le miroir; au lieu que
dans les parties des anneaux parallèles aux grands côtés du
rectangle, les molécules lumineuses, en retournant au dia
phragme , se rapprochaient de ces grands côtés, et par consé
quent arrivaient dans les parties de l’ouverture, où la force
répulsive des surfaces environnantes devait être le plus sen
sible ; de sorte qu’un plus grand nombre d’entre elles devaient
être réfléchies en dedans. Il y avait donc en ces endroits une ré
flexion plus énergique opérée sur des molécules appartenantes
a des anneaux plus rapprochés ; deux circonstances qui de
vaient concourir à produire une plus grande distinction.
Mais, malgré ces différences, les diamètres des anneaux sont
toujours restés les mêmes que dans les expériences précédentes.
Car, en les mesurant dans le sens où ils étaient le plus lucides ,
c’est-à-dire perpendiculairement aux grands côtés du rectangle ,
Tome IV. T 5