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PAR DES PLAQUES ÉPAISSES.
réseau formé aussi de lamelles métalliques noircies, et nous
avons, en effet, obtenu des anneaux. Mais ils n’étaient point
carrés , comme le duc de Cliaulnes les vit ou les crut voir; car,
bien que leur intensité suivît, comme elle devait le faire, la
direction des lames croisées , néanmoins on pouvait saisir très-
aisément la forme circulaire de l’ensemble, et s’assurer par des
mesures directes que les diamètres étaient les mêmes que nous
avons trouvés dans tous les autres cas. C’est ce que nous avons
fait, et l’accord a été pareil à celui des expériences précédentes.
Jusqu’ici nous n’avons considéré l’action des diaphragmes
que sous les incidences perpendiculaires ; mais, pour achever
de constater l’identité de cet effet avec celui des lames conti
nues, il fallait les comparer sous des incidences obliques, et
s’assurer qu’ils produisissent des effets pareils. Pour réaliser
celte épreuve, nous avons incliné un peu notre miroir, de
manière que le rayon réfléchi régulièrement s’écartât un peu
du centre de l’ouverture faite dans le volet de la fenêtre. Alors
nous avons reconnu que le centre des anneaux déplacés ne
suivait pas le trait réfléchi, mais restait à moitié chemin entre
lui et le trait direct, comme dans les expériences faites avec
les lames continues. Même en employant des diaphragmes cir
culaires, nous avons poussé l’écart des deux traits assez loin
pour que la tache blanche commençât à se changer en un
anneau blanc , auquel les deux traits restaient adhérons comme
deux parhélies ; nous avons vu ainsi cette tache s’obscurcir
à son centre; mais la faiblesse de la réflexion ne nous a pas
permis d’y voir naître les couleurs des anneaux intérieurs,
et la coloration cessait toujours d’être sensible avant qu’on
eût atteint l’écart nécessaire pour que ces anneaux intérieurs
pussent se développer. Je dois prévenir que ce mode de dé
placement des anneaux dans les reflexions obliques , la position
de leur centre entre le trait réfléchi et le trait direct, enfin la
transformation de la tache blanche en un anneau blanc , au
quel ces deux traits restent attachés , sont autant de carac
tères par lesquels le genre de phénomènes que nous venons
d’examiner se distingue essentiellement de ceux que produit