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PAR DES PLAQUES EPAISSES. 233
Si elles étaient alors exactement à ce milieu, comme les cordes
Ür, 7-ç, avant et après la réflexion, sont égales et également
inclinées sur les normales CR, Cç, il est clair que, dans leur
retour en ç, les molécules lumineuses se retrouveraient exac
tement clans le même état où elles étaient en partant de R; et
comme elles avaient été réfléchies eri R, elles le seraient encore
en Mais cette réciprocité n’aura plus lieu nécessairement
pour les molécules qui, en se réfléchissant des points rr', seront
un peu avant ou un peu après le milieu d’un accès de facile
réflexion. Car le cours des accès se poursuivant après la ré
flexion , comme si les molécules avaient continué à se mouvoir
en ligne droite, la quantité dont elles se trouveront écartées
en r du milieu de l’accès, ne fera en ç que s’ajouter ou s’ôter
à la phase dans laquelle elles se trouvaient lors de leur pre
mière réflexion en R. Or, dans la zone lumineuse qui se réflé
chit de r et des points environnans, il se trouvera toujours
un certain nombre de molécules que cette addition ou cette
soustract ion jettera en g assez loin d’un accès de réflexion pour
que les forces réfléchissantes ne puissent plus les renvoyer en
arrière, et alors ces molécules se transmettront. De cette ma
nière, la zone lumineuse réfléchie de r sortira en partie par
le point ç, et formera , après son émergence, un faisceau lumi
neux qui pourra être aperçu par un observateur convenable
ment placé (i).
(x) Le raisonnement que nous employons ici, lève une contradiction
apparente que Boscovich avait cru découvrir entre la tliéorie des accès et
la formation de l arc-en-ciel extérieur. On sait que dans ce genre de phé
nomènes , les rayons efficaces SI, fig. 48, subissent deux réflexions suc
cessives daus l’intérieur de la goutte,en R et R- : Or , disait Boscovich , la
cordc IR étant précisément égale à la corde RR', et l’une et 1 autre étant
également inclinées sur la surface réfléchissante, les accès suivant RR'
doivent être exactement les mêmes que suivant lll, et par conséquent les
molécules qui sont entrées en I doivent sortir en R', contradictoirement à
ce que l’on observe. Ce raisonnement serait jnste pour des molécules qui
arriveraient en R exactement au milieu d’un accès de facile réflexion ; car
alors , à leur retour en R', elles se trouveraient dans un accès de facile
transmission, comme en I, et exactement dans la même phase. Mais il y
S bien d’autres molécules que celles-là qui se réfléchissent du point B