238 DU RETOUR DES RAYONS REFLECHIS
désignons par e x îa corde R / ou Rz". . . parcourue par les mo
lécules, enfin nommons i la longueur de leurs accès sur cette
corde , on devra avoir, comme dans la page 162 ,
2 a~ v i , e x ~(v — 2x ) i'.
Or, nous avons en général, pour les accès obliques ,
i . /io5 -f- n\ .
i — 3 sxn U — ( ) sra r.
cos « COS /' V lt>6 y
Par conséquent, si l’on élimine i' et v de la valeur de e x , il
viendra
2 a — 2 i x . /1 o5 -f- /2'
f 100 -f- n\ .
cos U cos r
Les angles Rzl, Pvz'I étant droits , on a en générai
e x 2 a cos r, donc 2 a cos u cos 2 r = 2 a — 2 i x.
Comme les angles r et u sont fort petits , on peut substituer
1 — \ sin 2 u à cos u , 1 — sin 2 r à cos r, et négliger les qua
trièmes puissances de ces sinus. Alors le terme constant 2 a
disparait, et il reste
a (sin 2 u -j- 2 sin 2 /• ) ~ 2 i.ic.
Pour plus de simplicité , supposons , comme précédemment,
io5 -f- n
h
106
cette équation donnera
a ( Æ 2 -f- 2 ) sin 2 r
d’où sin u r= /i sin r,
d’où
V-
a ( k * “h 3 )
Maintenant, l’angle de réflexion oblique IRz étant/-, on aura
Rz e — 2r, ieC~ r, RCer=4 r i
ie C est l’angle d’incidence intérieure pour le rayon idéal ie,
dont nous suivons la direction. Ainsi, en appelant r' l’angle
d’émergence oez de ce rayon , n étant le rapport de réfraction
pour la substance du globule, on aura
sin r rr: n sin r ; donc sin r z=z dr. ;
zz(/i 2 + aj*
L’angle r est compté autour de la normale C e prolongée. Donc,
si on le retranche de eCR qui est 4/■, on aura l’angle etz ou