ton
erTe ; >1 coit^ ^
1,re:1 » Portos
incident devint pfe
,nt snffisammentn®.
in rajon incident^
dit, tonte ta hua®
rt «terme nue fj
e pour toutes feu.
incident s’apptK
btenir ainsi la poli-
ia lumière incite
es sont formées. Dii
empiétement la la-
d'or hattn sn/fîsent
haatms da soleil,
es soient placées i
n polarise aussi la
;s, telles que celles
ise en y plongea»!
il est assez difficile
I nombre pour que
unes de verre, f
b fait agir sur la
ie, on remarque
la lumière trans
ie, d’abord très-
ente a mesure que
lames. Elle est à
p avec leur sur-
polarise complè-
diquité augmente
même pins rnp
DE LA LUMIÈRE. 297
Arrêtons-nous un moment à ce maximum. Alors toute la lu
mière réfléchie par les lames successives est entièrement pola
risée ; et d’après ce que nous avons vu plus haut, en ana
lysant le phénomène de la réflexion, elle est polarisée de
manière que l’axe de polarisation des molécules lumineuses se
trouve dans le plan de réflexion. Or, sous cette incidence, si
l’on double ou triple le nombre des lames dont la pile se com
pose , une fois que la lumière transmise se trouve complètement
polarisée, son intensité ne varie plus du tout; elle conserve
absolument le même éclat , quel que soit ce nombre : il faut
donc qu’alors elle se trouve polarisée de manière à échapper à
la réflexion continuelle et successive que les lames tendent à
exercer sur elle. En effet, si on écarte la dernière lame à une
distance assez grande pour pouvoir observer la réflexion qu’elle
produit, on voit qu’elle est absolument nulle. Ceci nous dé
couvre le sens dans lequel la lumière transmise se trouve alors
polarisée. Puisqu’elle se transmet librement à travers les lames
suivantes , il faut qu’elle soit polarisée perpendiculairement au
plan dans lequel s’opère la réfraction. Quoique cette conséquence
se présente d’elle-même , après ce qui précède , je ne l’avais pas
déduite alors des phénomènes , et elle appartient à Malus, qui
l’a découverte par une autre méthode que je vais expliquer.
Pour cela , considérons d’abord l’action d’une seule glace ; et
afin de mieux reconnaître la modification qu’elle imprime aux
molécules lumineuses, faisons-la agir sur un rayon déjà pola
risé par la réflexion. Supposons , pour fixer les idées, que
ce rayon soit vertical, et que l’axe de polarisation de ses mo
lécules soit dirigé dans le plan du méridien. Inclinons la glace
de manière qu’elle forme avec lui un angle de 35° 2b'. Sous
cette inclinaison , qui est celle de la polarisation totale , si
nous faisons tourner la glace autour du rayon polarisé, elle
réfléchira des quantités inégales de lumière , suivant l’angle i
que le plan d’incidence formera avec l’axe de polarisation du
rayon ; et si nous nommons E l’intensité de cette lumière réflé
chie lorsque l’angle i est nul, sa valeur sera en général E cos 2 i.
Considérons maintenant la lumière transmise par la glace, et