Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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DE IA LUMIÈRE. 299 
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F e r= E sin 2 i cos 2 i. 
La valeur de F e peut se mettre sous la forme \ E sin 2 2 i. On 
voit alors qu’elle est nulle quand i est nul ou égal à go°, et 
qu’elle atteint son maximum entre ces limites, quand i— 45°. 
Telles sont donc les périodes du rayon extraordinaire produit 
par l’action de la glace sur la lumière qui la traverse ; l’expé 
rience confirme parfaitement ce résultat, quand on analyse la 
totalité de la lumière transmise par le moyen d’un rhomboïde 
placé comme le suppose notre calcul. 
Quant au rayon ordinaire F 0 , on voit qu’il s’accroît sans 
cesse de tout ce que perd F e . Dans le méridien où i est nul, il 
est d’abord égal à O. Il augmente ensuite continuellement d’in 
tensité à mesure que i augmente , et enfin il atteint son maxi 
mum lorsque zr=go°. Alors , la glace ayant perdu son pouvoir 
réflecteur , toute la lumière incidente O -f- E est transmise en 
conservant sa polarisation primitive , et par conséquent elle ne 
donne plus qu’un seul rayon ordinaire dans le rhomboïde qui 
sert à l’analyser. 
Nous avons supposé que la section principale de ce rhom 
boïde était dirigée dans le plan primitif de polarisation du rayon 
incident, que nous avons supposé être le méridien. Mais si 
nous voulions placer cette section principale dans toute autre 
position , le calcul des rayons F 0 et F e ne serait pas plus diffi 
cile ; tout se réduirait également à trouver les faisceaux ordi 
naires et extraordinaires donnés par deux rayons O et E sin 2 é, 
dont le sens de polaritation est connu : ce n’est qu’une appli 
cation très-simple des formules données page 268. 
En effet, représentons généralement par a, l’angle formé par 
la section principale du cristal avec le plan primitif O M de 
polarisation du rayon ; alors la portion O de lumière trans 
mise , sur laquelle n’agit point la glace , conservera cette polari 
sation. Par conséquent, lorsqu’elle traversera le rhomboïde, 
elle se divisera en deux faisceaux, l’un ordinaire, exprimé par 
O cos 2 a ; l’autre extraordinaire, exprimé par O sin 2 «s. Ve 
nons maintenant au ï'ayon OR ou E sin 2 ?, polarisé par réfrae-
	        
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