Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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DONNÉES PAR LES LAMES MINCES. iï 
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vironnant j il n’y a que l’intensité de cette couleur qui soit variable» 
Les mesui’es que nous venons de rapporter furent prises de 
la manière indiquée page 12, perpendiculairement au plan de 
réflexion mené par la tache centrale ; de sorte que les angles- 
d’incidence et de réflexion des rayons sur la lame d’air étaient, 
à très-peu près, les mêmes pour les différent anneaux : il ne 
reste donc qu’à savoir quels étaient ces angles, afin de fixer 
l’incidence sous laquelle l’observation est faite. Car nous avons 
déjà reconnu que les anneaux s’agrandissent à mesure que les 
rayons lumineux qui les forment deviennent plus obliques sur 
la lame d’air. Or Newton nous apprend que lorsqu’il faisait ces 
observations , son œil était élevé de 8 à g pouces au-dessus du- 
plan des anneaux, et qu’il était éloigné des rayons incidens de 
iP°,25 ; de là on peut conclure que l’incidence des rayons lumi 
neux sur la lame d’air était d’environ 4 0 . 
Pour le prouver, soit C , fig. 6 , le centre apparent de tous les 
anneaux sur la surface supérieure du premier verre , que nous 
supposerons horizontale. Menons par ce centre la verticale CZ, 
et le rayon lumineux CO dirigé à l’observateur. L’angle OC Z, 
que nous nommerons i, sera l’incidence de ce rayon sur la 
première surface du verre ; et d’après la manière dont les obser 
vations sont faites perpendiculairement au plan O C Z, on 
pourra regarder cette incidence comme sensiblement la même 
pour tous les rayons visuels menés aux extrémités du diamètre 
transversal des différens anneaux ; de sorte qu’elle indique l’in 
clinaison commune sous laquelle ils sont alors observés. Il ne 
reste donc qu’à calculer cette inclinaison en prolongeant le 
rayon OC par la réfraction à travers l’épaisseur du verre, et 
mesurant l’angle d’émergence qu’il forme quand il ressort dans 
la lame d’air en C'. Or, d’après le peu de courbure des verres 
dont Newton faisait usage, on voit que le rayon devait sortir ainsi 
presque exactement parallèle à sa première direction ; de sorte 
que son émergence devait être presque égale à son incidence 
OC Z, comme si les deux surfaces d’entrée et de sortie eussent 
été planes et parallèles. Cette supposition suffit en effet pour cal 
culer les petites corrections que l’on en veut déduire. En nous-y
	        
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