DE LA LUMIÈRE.
etCftt POUKjloi!!
etreaçirçajjî
llsse ’Parcel®
11 w proviendnit,
P ar sa cooletrjj
n rectangulaire;.;
ite prs®.
'ïûciü d sa [jTj
itou les mme
le glaces ; mais ;i
on primitif, je Îî
ulaire. Alors dit
des anneaux, qae
contraire, elle te-
imete politisées
, à cette manière,
îiement plus sen-
ansmettait libre-
i partie de la li
és; et par consé-
luaiere qui avait
lame assez mince
n ravon poli®
i eebappe à la rt-
nuits ux- Ce re
lu couleurs des
simples entre la
üte ia lumière est
polarisation qui
ordinaire, soit
suies lumineuses
ou dn moins q*
K ÿj, Mais I®
o i ï
qu’on emploie des corps composés de couches distinctes , ou
dont la limpidité n’est pas parfaite , ces conditions développent
quelquefois de nouvelles forces, indépendantes de la cristalli
sation élémentaire, et qui en modifient les effets.
Par exemple, tout le monde sait que la pierre appelée agate
est formée de couches quartzeuses successivement déposées
par infiltration. Si l’on taille une plaque de cette substance per
pendiculairement à ses couches, on trouve qu’elle polai’ise pa
rallèlement à leur surface une grande partie de la lumière qui
la traverse , et même la totalité, si elle est suffisamment épaisse,
ou si le rayon à laquelle on l’expose n’est pas trop intense»
Cette observation est due à M. Brewster. De là il résulte que , si
l’on expose la plaque à un rayon polarisé perpendiculaire
ment à la direction de ses veines , elle ne peut tourner aucune
des molécules lumineuses dans le sens nécessaire pour le trans
mettre, et par conséquent elle l’arrête en totalité. Au contraire,
si le plan de polarisation est parallèle aux veines de l’agate,
les molécules lumineuses se trouvent naturellement disposées
comme l’action de l’agate les rangerait, et par conséquent le
rayon se transmet, en s’affaiblissant toutefois par suite de la
transparence imparfaite. Si l’on tourne l’agate de manière
à passer d’une de ces positions à l’autre, l’intensité de la lu
mière transmise diminue graduellement ; mais je me suis assuré
que ces phénomènes n’ont lieu qu’au delà de certaines limites
d’épaisseur. Quand l’agate est suffisamment amincie, elle admet,
avec une facilité sensiblement égale , toutes les molécules lumi
neuses , quel que soit leur sens de polarisation , et elle reprend
toutes les propriétés des cristaux doués de la double infrac
tion. Je donnerai plus loin les preuves de ce fait. En l’admet
tant, on voit qu’il faut distinguer dans l’agate deux sortes de
forces polai’isantes distinctes, l’une dépendante du mode de
cristallisation de ses particules, l’autre de l’arrangement et de
l’hétérogénéité des eouches dont elle est formée.
J’ai découvert des propriétés analogues dans la tourmaline j
et même elles y sont beaucoup plus singulières ; car , lorsque la
tourmaline est pure, l’ecil n’y découvre aucune apparence da