»3
)rj f'^pmisu
Partage de l a l aD è
ulie <!« l«s aoiécdi
premières dans ®
is par la séstugj
:s parallèlement a a
airement,
¡aqaes de tora*
ment coaiDodspoi
t dans quel sens t
)erie seasàm!«ji
alors parallèle ¿Fa
*tte épreuve sari,
ïdeiion àns un »
i objet vu à trader
tou! à l’axe de cri;
polarisée parais
îstperpendiculai»
avec un prisme i;
image la pim
t ¡a moins déviéep
il spath d’Islande«
active. En serti J
as le prisme de spaiï
:nsme de cristal J
>, dans l'on corne
arallélcm en ^ 31 ar
mrsperpendicnlï
j!es cristaux, qui'
a double réfracta
, un caractère p»'
•elle autre estr»
isatioti ; et ce cao
DE LA LUMIÈRE, Bit*
attractif ou répulsif, sans qu’il soit besoin d’en construire un
micromètre à double image. Car il suffira de couper un prisme
parallèle à l’axe, et d’observer le sens de polarisation des
images vues à travers. Si la plus déviée est polarisée parallè
lement à l’axe du prisme, la réf’ractidn ordinaire est la plus
forte, et le cristal est répulsif; si cette même image est pola
risée perpendiculairement à l’axe , le cristal est attractif. La
plaque de tourmaline sera très-commode pour cet objet.
Au moyen d’une pareille plaque, on peut aisément constater
un fait que M. Arago a découvert par d’autres procédés : c’est
que, dans le phénomène de la réflexion, la portion de lumière qui
est renvoyée irrégulièrement dans tous les sens, se trouve en
grande partie polarisée perpendiculairement au plan d’émer
gence. Pour s’en assurer , il n’y a qu’à introduire un rayon
solaire dans la chambre obscure, le faire tomber sur la surface
d’un corps quelconque , opaque ou diaphane ; puis, se plaçant
arbitrairement, mais hors de la direction de la réflexion régu-
gulière , on regardera le point d’incidence à travers une plaque
de tourmaline. Alors, en tournant peu à peu cette plaque
autour des rayons irrégulièrement réfléchis , on apercevra dans
l’intensité de l’image une variation d’intensité extrêmement
sensible. Elle sera la plus brillante , quand la tourmaline lais
sera passer les rayons polarisés parallèlement à la surface d’in
cidence ; et la plus sombre, quand ces rayons seront rejetés,
La chose aura lieu aussi de quelque endroit qu’on regarde le
point d’incidence, par conséquent dans quelque plan d’émer
gence que l’on se place. D’où l’on voit que la lumière irrégu
lièrement réfléchie dans chacun de ces plans, contient une pro
portion dominante de particules polarisées dans le sens qui
leur est perpendiculaire, de même que si la dissémination de
cette lumière était produite par une réfraction très-oblique
exercée suivant chaque plan d’émergence.
J’ai répété cette expérience sur plusieurs rhomboïdes de
spath d’Islande , en plaçant le plan d’incidence du rayon dans
différent sens relativement à la section principale ; ce qui se