DES MOLÉCULES LUMINEUSES. 4o5
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du méridien en C X", dans un azimut égal à — 2 i, ou, ce
qui revient au même, elle lui fera décrire un angle double de
X'CX, c’est-à-dire, X'CX -f-XCX". Or, le faisceau ainsi
polarisé suivant CX ft , et celui qui est polarisé suivant CX'
tombant, après leur émergence , sur le rhomboïde de spath cal
caire , dont la section principale est dirigée suivant CX, ils
s’y réfracteront de la même manière, et par conséquent le
résultat sera le même que si la polarisation suivant CX' n’avait
pas été troublée. Ceci n’aurait plus lieu si on tournait le rhom
boïde , et les couleurs changeraient ; mais ce n’est pas là le
cas que nous considérons. Faisons donc i' égal à zéro dans
notre formule générale , il viendra
F 0 r= A -}- À 2 -f- ( A,-{-A3) cos 2 2 a ; F p rr= (A, -f-A 3 ) sin 3 2a.
Or, en nommant O le faisceau que la première lame ne dévie
pas, et E celui dont elle détourne les axes, on aurait, sans la
présence de la seconde lame,
F 0 := O -f- E cos 2 la F e — E sin 2 2 a;
par conséquent
A -{- A 2 ~ O A t -f- A3 == E j
on a déjà
A -f- A t — O' A* -f- A 3 = E'.
De là on tire d’abord
A 2 = O — A A 3 =rE—- A, =E —-O' + A
A. t — 0' — A A3 = E, — A a = E' — O -f- A.
Ces deux valeurs de A 3 devant être égales entre elles, il faut,
pour qu’elles soient possibles, que l’on ait toujours
E — O' = E' — O ou E -f O = E' -{- O' ;
et en effet, cette condition est toujours satisfaite ; car E-f-0 est
la somme des deux faisceaux qui traversent la première lame ,
lorsqu’elle est seule exposée au rayon polarisé ; et E' -f- O'
est la somme des deux faisceaux qui traversent la seconde,
quand on la substitue à la première. Or, chacune de ces
sommes est égale à la lumière incidente moins la somme des
rayons réfléchis qui forment du blanc, et que nous négligeons
dans ces calculs.