Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

influence d e |, 
a me, menonsli 
0Q «e de cris, 
molécnles lirai, 
de surface de Iî 
ni aurontceprij 
i leurs aies it 
»erpendiculaire- 
onde surface ii 
;ts que si elles 
xactement, su 
[’après 1’azimu: 
elles se trou- 
quelles seron! 
on, de mém! 
surface : élis 
conde surface, 
par conséquent 
«eau CX na 
is qui ont perèi 
e faisceau CX'; 
>°deCA. Ainsi, 
«es suivant Cl, 
, ces molécules 
; surface ; aa 
lus favorable 
ui l’éprouva: 
elles perdect 
r , parce que, 
ilètement poli- 
de surface f 
dans la 1* 
on introduirait 
c-’est-à-ditf 
c é d’abord,^ 
SOUS LES INCIDENCES OBLIQUES. 447 
la même inclinaison , en faisant le même angle de 45° avec l’axe , 
et polarisées comme la première fois. Ainsi, elles doivent re 
commencer de même leurs oscillations, et, à leur sortie de 
la lame , elles doivent se retrouver encore avec une polarisa 
tion commune , dirigée suivant CX ; car, dans ce dernier tra 
jet , partant du même état ,et étant soumises aux mêmes forces , 
leurs oscillations ne les séparent pas plus qu’elles ne les ont 
séparées dans le premier; voilà de quelle manière elles com 
posent un l’ayon réfléchi exactement de même teinte que le 
rayon polarisé par transmission sous cette incidence. 
Ou voit que cette permanence est due uniquement à la nou 
velle polarisation fixe que ces molécules reçoivent par réflexion 
à la seconde surface : elle ne pourrait pas avoir lieu sans cette 
circonstance, et les molécules, en rentrant dans la lame, con 
tinueraient ou reprendraient leurs oscillations. Ce dernier cas 
arrive sous l’incidence perpendiculaire, parce que les surfaces 
qui reçoivent le rayon perpendiculairement à sa direction ne 
font que le renvoyer sans modifier en rien la position des axes 
de ses molécules. 
En revenant à l’incidence oblique , que nous considé 
rions tout-à-l’heure , on observe que la teinte du rayon i'é- 
fléchi change lorsqu’on tourne la lame sur son plan , sans 
changer l’incidence ni l’azimut du plan de réflexion ; en même 
temps son intensité diminue, et elle devient nulle lorsque 
l’axe de la lame coïncide avec la trace CT du plan d’in 
cidence ou lui est perpendiculaire. La raison de ce dernier 
phénomène est évidente ; car si l’axe CA de la lame coïn 
cide avec CT, il se trouve à angle droit sur CX. Ainsi, 
dans ce cas , l’amplitude des oscillations est égale à une demi- 
circonférence , c’est-à-dire que les molécules qui devraient 
composer la teinte E' ont simplement leurs axes retournés 
et dirigés suivant Cx , prolongement de CX, ce qui fait 
qu’elles échappent de même à la réflexion sur la seconde sur 
face : si au contraire l’axe C A est rectangulaire sur C T, 
il coïncide alors avec CX, et il ne se produit point d’oscilla-
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.