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SOUS LES INCIDENCES OBLIQUES.
donnera un rayon réfléchi,qui sera tout entier composé de la
teinte que la lame polarise par transmission sous cette inci
dence, par conséquent aussi sous l’incidence perpendiculaire ;
car ces deux teintes sont sensiblement les mêmes dans la po
sition présente de l’axe, qui forme , avec le plan de la polarisa
tion primitive C'M', un angle de 46°.
Si l’épaisseur de la lame cristallisée excèdede millimètre,
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la teinte ainsi réfléchie sur le verre noir est blanche ; mais il est
facile de prouver que les oscillations ont eu également lieu dans
cette lumière ainsi mêlée. Pour cela , au lieu de recevoir sur
un verre noir les faisceaux réfléchis , il faut les analyser?
avec un prisme de spath d’Islande achromatique ; et, avant
qu’ils parviennent au prisme, il faut leur faire traverser une
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plaque de chaux sulfatée d’une épaisseur à peu près égale à la
première, qui lui soit à peu près parallèle, et dont les axes
soient dirigés à angles droits sur les siens. La lumière réfléchie,
après avoir traversé cette seconde plaque, se divisera dans le
prisme en deux faisceaux colorés. Mais les teintes de ces fais
ceaux seront incomparablement moins vives que celles que
l’on observait sur le verre noir avec les lames minces ; et ceci
est encore une conséquence de la théorie des oscillations. Car,
d’après cette théorie, la seconde plaque cristallisée n’agit pas
seulement sur les portions de lumière colorée, 0 , E , qui ont
pénétré dans la première plaque; elle agit encore sur la por
tion de lumière blanche B, qui, s’étant réfléchie à la pre
mière surface de cette plaque, a été ainsi polarisée dans le
même sens que 0. Puisque la seconde plaque est, par sup
position, trop épaisse pour donner immédiatement des cou
leurs, elle séparera B en deux faisceaux blancs de polarisation
diverse, qui se mêleront avec les faisceaux colorés provenant
de E et de 0, et affaibliront leurs teintes , conformément à
l’observation.
Pour éviter cet inconvénient, il faudrait ne pas faire tomber
sur la première plaque un rayon de lumière naturelle, mais
un faisceau blanc déjà polarisé perpendiculairement à la direc
tion CM du plan d’incidence. Par ce moyen, il ne se ferait