Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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SOUS LES INCIDENCES OBLIQUES. 45c) 
y satisfaisaient parfaitement. Il faut donc qu’il y ait entre les 
deux problèmes quelque circonstance physique qui ne soit pas 
la même, et à laquelle nous n’ayons pas fait attention. Il s’en 
présente une, en effet, qui peut avoir quelque influence: lors 
qu’on n’incline que la seconde des deux plaques , elle agit tou 
jours sur un rayon déjà modifié par la première ; tandis que , 
lorsqu’on incline à la fois les deux plaques , les variations d’ac 
tion que la première éprouve s’exercent sur un rayon direct 
qui n’a reçu aucune modification de cette espèce. D’après tout 
ce que nous avons vu des impressions que les molécules lumi 
neuses prennent dans ces plaques , il se pourrait que l’action de 
la seconde n’éprouvât pas tout-à—fait les mêmes changemens 
dans les deux cas. En outre , quand les plaques sont toutes deux 
inclinées, une petite portion de la lumière qui traverse la pre 
mière est probablement polarisée, par réfraction, perpendiculai 
rement au plan d’incidence, et elle arrive sur la seconde plaque 
avec cette modification ; tandis que cela n’a pas lieu lorsque 
la première plaque est perpendiculaire au rayon polarisé. La 
réflexion, à la seconde surface de la première plaque, ne se fait 
pas non plus de la même manière. Ces dissemblances peuvent 
suffire pour amener les différences dont j’ai parlé , et qui, dans 
des plaques dont l’épaisseur est douze ou treize cents parties 
du sphéromètre, m’ont paru changer, seulement de trois ou 
quatre degrés , l’incidence à laquelle les plaques devraient se 
compenser exactement. 
Pour confirmer la réalité de cette petite abei’ration que 
présentent les plaques croisées Irès-épaisSfes, lorsqu’on les incline 
ensemble, je rapporterai les observations suivantes, qui ont 
été faites de cette manière sur deux plaques A et B, dont les 
épaisseurs observées au sphéromètre étaient 15567? et i33op. 
La différence 7 3, étant réduite à l'échelle de Newton, avec le 
lacleur moyen \ qui convient à la chaux sulfatée, valait i8,25 , 
et devait par conséquent répondre au rouge du 3 e ordre de 
la tabje de Newton. En effet, sous cette incidence, lors 
que les axes ont été croisés à angles droits, la teinte F e a 
été un rouge de cet ordre tirant un peu au jaune. Alors on 
a successivement placé dans le plan d’incidence l’axe de la
	        
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