Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

etc. 
PLAQUES DE CRISTAL DE ROCHE, etc. 
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effet des amia® 
es; mais la dfi. 
eux plaques mi 
exactitude nécti- 
xi combiner fa 
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CHAPITRE YIII. 
Expériences sur les plaques de cristal de roche , 
rès-près de l’nt 
iriquement deh 
nous devons a 
tint d’autre fora 
taillées perpendiculairement a l’axe de cristalli 
sation. 
Pour faire mieux saisir la nature et la liaison des phéno 
¡si, comme nw 
itre la force pria- 
ance du sinus à 
:, elle possède en- 
■ nulle dans le sem 
ie. E se développe 
roche, quand les 
t elles sont d’au- 
¡t aux molécules 
de celles que Irai 
ie nous les coosi- 
mènes que nous allons examiner, je vais annoncer en peu de 
mots les circonstances générales qu’ils présentent et qui les 
distinguent de tous ceux que nous avons jusqu’à présent 
étudiés. 
1°. Lorsqu’un rayon polarisé tombe perpendiculairement 
sur la surface naturelle d’un rhomboïde de spath d’Islande, 
dont la section principale est parallèle au plan de polarisation 
du rayon , il ne se divise point, et subit tout entier la réfraction 
ordinaire. Mais, si ce rayon polarisé est préalablement trans 
mis à travers une plaque de cristal de roche, taillée perpen 
diculairement à l’axe de cristalisation , une partie des molécules 
lumineuses perd sa polarisation primitive , et il se produit dans 
mettant un large 
rometre ¿double 
h d’Islande d’un 
molécules lumi- 
liculaire à Vase, 
analyse. Seule- 
plus exactement 
i; roaislathéor< 
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aVlnstitut, 1 * 9 
egardantle® 1 
est serein, a C1I;< 
^ les couches ^ 
le rhomboïde un rayon extraordinairement coloré. 
2 0 . Les couleurs de ce faisceau extraordinaire se rapportent 
à celles des anneaux colorés réfléchis 5 les couleurs des anneaux 
les plus voisins du noir se montrent dans les plaques les plus 
minces, et celles des anneaux les plus composés, dans les pla 
ques les plus épaisses, jusqu’à ce qu’enfin, l’épaisseur aug 
mentant toujours, les deux faisceaux finissent par être tous 
deux blancs et sensiblement égaux en intensité. 
3°. Si l’on tourne la plaque dans son plan, le rhomboïde 
restant fixe, et l’incidence sur la plaque restant toujours per 
pendiculaire, la teinte des deux faisceaux n’éprouve aucune 
altération. Ce phénomène est une conséquence de ce que la 
plaque est perpendiculaire à l’axe de cristallisation, et l’inci-
	        
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