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°mètre, était fc
polarisé, d’aloti
!e sous des ü
‘^ence dans l'af,
dans ce plan. Cefe
ns l’axe du criai
ie cela a été expi-
a vu alors, qu's
la perpendiculaire
i plaque avec l’a»
ixe est exprimé p
i 3 : par conséquent
istal est représa«
PERPENDICULAIRES A DAXE. 53 t j
rait une plaque taillée perpendiculairement à l’axe , et exposée
perpendiculairement au rayon polarisé. Au - delà de cette
limite, si l’on incline toujours la plaque, l’angle du rayon
réfracté avec l’axe augmente de nouveau ; l’énergie de cet axe
doit donc aussi de noxiveau se développer, et par consé
quent les phénomènes doivent se reproduire tels qu’ils s’étaient
d’abord présentés dans des inclinaisons moindres. Tous ces
résultats de la théorie sont parfaitement confirmés par l’expé
rience ; mais, pour qu’on en juge mieux, j’ai rapporté , à la
fin de ce chapitre, le tableau même des observations avec les
incidences observées , ainsi que les valeurs qui en résultent
pour les angles ô' et 3i° — 8'.
Voulant répéter encore une fois cette expérience intéres
ibiiquilé du rajï
;t les intensités à
0 et dans Tarin!
nte principale agi
sur les forces ijs
lui, le rayon &
1er azimut, pffi-
éincide avec la 1
rou incident. Mas
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ie partie des mo-
iction des foret
. un rayon ex
l'azimut zéro
assez petit pofl
plus faible q®
polariser la i [ ' ,
■Qt céder à 1 JI '
;n er. P« co№
Ction principe-
:e doivent êtrels
t e s phénofl® 3
ùxquepr^
sante , j’ai fait amincir la plaque précédente, jusqu’à ce que
son épaisseur fût réduite à 2647 P art ies du sphéromètre,
ou 5 тш ,7бо. Dans cette opération ,• l’inclinaison de ses faces
sur l’axe a un peu varié, et s’était réduite à 57° 4j'. L’angle
de ces faces entre elles est devenu i° 7' 3o", au lieu de 46 »
qui était sa valeur auparavant. J’ai exposé cette plaque au
rayon polarisé, et les phénonjènes se sont encore reproduits
précisément dans le même ordre : seulement, comme l’angle
des faces était différent, l’incidence à laquelle le rayon réfracté
est devenu parallèle à l’axe s’est aussi trouvée différente de
l’expérience précédente ; ce qui devait en effet arriver selon
notre théorie.
Phénomènes de polarisation successive , observes dans
des fluides homogènes.
Les phénomènes produits par les forces rotatoires qui éma
nent de l’axe du cristal de roche nous ont prouvé que ces
forces étaient indépendantes de la cristallisation ; mais ce qui
est plus extraordinaire , elles sont même indépendantes du
mode d’agrégation des particules matérielles qui composent
le cristal , car je les ai retrouvées dans des fluides parfaits,
où l’on ne peut supposer aucun mode d’agrégation déterminé.
J’ai été conduit à cette découverte, dans le cours des expé-