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viques, lorsqu’on peut réussir à polir leur panse sans les
rompre , de même qu’on les voit aussi dans les autres plaques
de verre refroidies rapidement. Au contraire, on les fait
complètement disparaître, même dans les masses qui les pro
duisaient le plus fortement, en les chauffant de nouveau jus
qu’au rouge, puis les faisant refroidir, avec une extrême
lenteur, et avec toutes les précautions nécessaires pour que la
déperdition de la chaleur soit aussi uniforme qu’il se peut
dans toutes leurs parties. C’est ce qu’a trouvé M. Seebeck,
et ce que j’ai vérifié après lui.
En général, on conçoit que toute cause qui déterminera uu
état forcé des particules sera également propre à donner ces phé
nomènes. Aussi M. Seebeck les a-t-il obtenus avec des plaques
de borax fondu et refroidi rapidement, avec des plaques demu-
riate de soude rapidement desséchées, avec des plaques dégommé
arabique obtenues par une prompte évaporation. C’est, je crois,
à cela qu’il faut attribuer les indices de polarisation observées
accidentellement par M. Brewster dans certains échantillons de
cristaux qui , par leur nature, ne possèdent point la double
réfraction. Enfin, ce qui achève de confirmer celle manière de
voir, M. Brewster a encore imprimé les mêmes propriétés à
des plaques de gelée animale, en exerçant sur elles extérieure
ment une pression passagère; de sorte que les couleurs parais
sent tant que la pression dure, varient avec elle, et s’évanouissent
quand elle cesse. Des variations rapides et inégales de tempéra
tures ont une influence pareille sur les plaques de verre. Ces
plaques, présentées au rayon polarisé lorsqu’elles sont encore
complètement et uniformément rouges, n’agissent point sur
lui ; mais on voit les couleurs paraître à mesure qu’elles com
mencent à se refroidir, comme M. Seebeck l’a observé le pre
mier ; et elles naissent d’abord dans les endroits qui sont les
premiers refroidis. L’introduction de la chaleur agit de même.
On le reconnaît en plaçant une plaque métallique très-chaude
parallèlement au rayon lumineux polarisé , et posant sur cette
plaque, parla tranche, une plaque de verre bien recuit. Car
eslte plaque, qui froide ne produisait aucune couleur sur le verre