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produite à tra^en - 
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omme les cristau 
ulsifs. M. Brewsÿ 
'es diverses partis 
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autres la faisais: 
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cristal peut pro- 
angement de posf 
perpendiculaire! 
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ractif ou répulsif, 
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page 42 0, reçoit 
ir savoir commen! 
Brewster a négligé 
ie sorte qn’on m 
es actions que k 
comparées. 
1 qui montreront 
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une plaque carré 
m d’épaisseur ;en 
glace, on recon* 
r? lorgne les dia- 
■ment an plan i( 
taire a son m®’ 
nn angle dei 
plaque 
IMPARFAITE. 5^5 
et perpendiculaires à sa direction , comme le représente la 
fjg. 5^. Alors l’image de la plaque offre quatre secteurs lumi 
neux égaux , partagés par une croix noire , dont les branches 
sont parallèles à ses côtés ; et de là, jusque vers les yeux qui 
se trouvent dans chaque angle , les couleurs vont en descen 
dant selon l’ordre des anneaux, de manière à présenter d’abord 
le blanc du premier ordre, puis le jaune, l’orangé, le rouge , etc. 
Cette dégradation est parfaitement symétrique dans les quatre 
quadrans, si la plaque est exactement carrée, et si elle a été 
chauffée partout bien également avant d’être refroidie» 
Il résulte de là d’abord, que, dans les points où s’étendent 
les branches de la croix noire, les résultantes des forces sont 
parallèles ou perpendiculaires aux côtés de la plaque, puisque, 
dans la position présente, ces deux directions sont les seules 
qui puissent rendre nul l’effet des forces sur les rayons trans 
mis. Secondement , la disposition pareille des couleurs, dans 
les quatre quadrans que les branches de la croix séparent , 
nous indique que les résultantes des forces y sont dirigées 
symétriquement par rapport à ees quatre branches. C’est ce 
que l’on peut confirmer encore en tournant peu à peu la 
plaque sur son plan ; car alors les branches de la croix noire, 
qui indiquent toujours les résultantes parallèles ou perpendi 
culaires à la polarisation primitive , se courbent graduelle 
ment , comme le représente la fig. 53. Et dans quelque sens 
que l’on tourne, leurs sinuosités sont toujours symétriques 
par rapport aux quatre lignes menées du centre de la plaque, 
parallèlement à ses côtés. Il suit de là que les directions des 
forces polarisantes doivent être rectangulaires entre elles 
sur les diagonales des quatre quadrans, à égales distances 
du centre, soit que ces forces puissent ou non se réduire 
à une seule résultante pour chaque série de molécules maté 
rielles qui agissent sur un même rayon. Cela posé , reve 
nons à la fig. 5a , où les diagonales ÀA, BB, étaient tournées 
dans l’azimut de 45°- Si nous plaçons derrière la plaque 
une lame mince de chaux sulfatée , dont l’axe soit tourné 
parallèlement à une des diagonales , il est clair que les teintes 
de celte lame seront modifiées, et le seront diversement dan»