Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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CHAPITRE XL 
Détermination des lois suivant lesquelles la Lumière 
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Ijoîisque Malus eut découvert la polarisation que la lumière 
éprouve , en se réfléchissant à la surface des corps diaphanes , 
il reconnut aussi que ce phénomène ne se produisait pas , au 
moins de la même manière, à la surface des métaux. Depuis cette 
époque, mémorable pour les sciences, il revint deux fois sur 
cette exception singulière ; mais sans doute , si le temps ne lui 
eût pas manqué , il eût senti le besoin de modifier les premières 
idées qu’il avait émises, et les véritables lois de la polarisation 
métallique ne lui auraient pas échappé. 
Avant de chercher à les découvrir, rappelons-nous qu’il 
s’opère en général deux sortes de réflexions à la surface des 
corps : l’une, qui paraît avoir lieu hors de leur substance , 
agit indistinctement sur toutes les molécules lumineuses, et 
produit un rayon blanc , si la lumière incidente est blanche ; 
l’autre , plus intérieure, agit seulement sur les molécules lumi 
neuses qui composent la teinte propre du corps. La première, 
sous une certaine incidence , polarise toujours en grande partie 
la lumière dans le sens du plan de réflexion, à la manière des 
corps diaphanes ; la seconde, au contraire , ne produit point 
cet effet, ou au moins ne le produit qu’avec une intensité 
beaucoup moindre. D’où il est facile de conclure que, si l’on 
dispose une glace de manière qu’elle transmette ou qu’elle ab 
sorbe la première espèce de lumière, elle réflécliii'a l’autre , et 
l’on pourra voir le corps avec sa couleur propre , sans aucun 
mélange de blancheur étrangère. Ce procédé, que j’ai appliqué, 
page 338 , à l’observation des teintes réfléchies par les lames de 
chaux sulfatée, m’avait servi également pour mettre à nu les 
couleurs propres de l’or, du fer et du cuivre ; mais je croyais
	        
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