Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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SUR LES MÉTAUX, 58* 
champ de recherches aussi nouveau, il s’est trouvé que j’avais 
observé d’abord des phénomènes différens, au moins en appa 
rence, de ceux que M. Brewster avait vus. En effet, dans la 
lettre qu’il m’avait écrite , il décrivait les teintes des images 
réfléchies comme se succédant par de simples alternatives de 
la plus grande à la moindre réfrangibilité ; au lieu que j’y 
reconnaissais évidemment toute la série des anneaux réfléchis 
et transmis. Il indiquait ces teintes comme polarisées, l’une 
dans le plan de réflexion , l’autre dans le sens perpendi 
culaire ; au lieu que je les trouvais polarisées à distances 
égales de ce plan, l’une dans le sens de la polarisation primi 
tive, et l’autre du côté opposé, conformément à la théo 
rie des oscillations ; d’où il s’ensuivait aussi qu’une seule 
réflexion sur l’argent ne devait imprimer à la lumière natu 
relle aucune polarisation déterminée. Ayant parlé à M. Arago 
de cette contradiction apparente, il m’assura avoir observé que 
la lumière naturelle réfléchie par l’argent, comme par les autres 
corps métalliques, éprouve tovijours une polarisation partielle 
fort sensible , suivant le plan d’incidence, et il me confia une 
pièce d’argent poli sur laquelle je pus en effet constater cette 
propriété.Cela semblait conforme aux indications de M. Brewster 
et contraire aux miennes. Mais comme des faits ne peuvent 
jamais être réellement contraires à des faits, je cherchai ce 
qu’il pouvait y avoir de différent dans les élémens des deux 
observations , et j’en vins ainsi à penser que la nature diffé 
rente du poli pouvait avoir de l’influence sur le mode de pola 
risation exercée par les lames métalliques ; c’est en effet ce 
que l’expérience a parfaitement confirmé. 
On peut donner le poli à un métal de deux manières, par 
le marteau et par l’usure. Le premier mode consiste à battre 
la lame métallique sur une enclume polie, avec un marteau 
poli ; après quoi on achève de donner du brillant à la surface 
en la frottant avec une peau de gant, imprégnée d’un rouge à 
polir très-fin. Ce procédé, appliqué à l’argent, lui donne une 
très-grande blancheur; mais les images réfléchies sont tou 
jours un peu onduleuses et comme émoussées sur leurs bords.
	        
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