Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

SUR LES MÉTAUX. 
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réflexions suivantes continuent à se faire dans le même plan ; 
de sorte que dans ce cas, après un nombre de réflexions plus 
ou moins considérable > selon la nature du métal et celle du 
poli qu’on lui a donné, on doit trouver, et on trouve en effet 
presque toute la lumière polarisée fixement suivant le plan de 
réflexion. Dans la réflexion sur l’acier, et probablement sur les 
autres métaux qui prennent un poli spéculaire très-vif, la por 
tion de lumière blanche qui est ainsi enlevée à la polarisation, 
mobile est incomparablement la plus forte ; de sorte que le 
phénomène des couleurs , que la polarisation mobile peut 
seule produire, devient insensible ou ne peut être aperçu que 
dans certaines positions particulières , que la théorie seule peut 
indiquer. Aussi M. Brewster m’avait-il d’abord annoncé que ce 
phénomène n’avait pas lieu sur l’acier , ni sur l’ailiage qui 
sert à faire des miroirs ; mais, en me guidant sur les indica 
tions de la théorie, je suis parvenu à l’observer d’une manière 
non douteuse, même sur l’acier le mieux poli; et M. Brewster 
m’a écrit depuis qu’il y était pai'venu également ; comme 
aussi, à reconnaître la polarisation dans l’azimut double. 
Lorsqu’on emploie des lames d’argent qui ont reçu le poli 
spéculaire , la portion de lumière qui prend la polarisation 
fixe, à chaque réflexion, est encore fort considérable; mais 
elle est cependant beaucoup moindre que sur les deux métaux 
que je viens de citer. Par une compensation nécessaire , la por 
tion qui prend la polarisation mobile est plus grande, et le 
phénomène des teintes y devient fort beau et facile à observer. 
Mais le sens de polarisation du faisceau blanc étant précisé 
ment intermédiaire entre ceux des faisceaux colox'és, il en ré 
sulte quïl se mêle encore avec eux dans la réfraction opérée 
par le rhomboïde, et ce n’est qu’en les réfractant dans des 
directions particulières , que la théorie indique , que l’on peut 
mettre la loi de leurs teintes dans une entière évidence. Enfin 
cette difficulté disparaît presque entièrement dans les lames 
d’argent polies au marteau ; alors la portion de lumière qui 
prend la polarisation fixe à chaque réflexion devient extrême 
ment faible j comparativement à celle qui conserve la polari-
	        
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