nneau àson péri-
ie par une lumièii
aovenne arithmé-
rle rougeextrème
s par les derniers
5; et elle différera
ond a la couleur
îts, constatés pat
; aui couleurs dit
i prisme dererre
lus contracté, le
;da bleu sont au
DOI'O'EES PAR LES LAMES MINCES. ^g
En combinant ces résultats avec la loi suivant laquelle les
épaisseurs augmentent d’un anneau à un autre dans une
meme espèce de couleurs, on peut obtenir les épaisseurs de
l’air au commencement et à la fin de chaque anneau , soit
brillant, soit obscur, dans toute la série des anneaux.
Soient C B, C D, fig. 11, les deux verres superposés. Supposons
qu’ils soient éclairés par une lumière simple d’une couleur quel
conque, et que les espaces où sont les hachures désignent ceux par
lesquels la lumière passe librement, tandis que les espaces sans
hachures désignent ceux où elle est réfléchie : alors les lignes ,P ,e,
V x e ï désigneront les limites de la tache centrale; cette même
ligne P t e { , avec la ligne Q, E t , formeront les limites du premier
anneau réfléchi ; de même P 2 <? 2 et Q 2 E 2 formeront les limites
périmètre de dit*
es des diamètres,
n même anneau,
(Jeurs, telles que
ne les carrés des
i. ( I j ou, en
;re elles con»
cimes dans le ta
ie 1j on déduit le
;nt les épaisseurs
mé par les rayons
du second anneau, et ainsi de suite pour tous les autres : sur
quoi il faut se représenter ces limites , non pas comme brusques
et tranchées,mais comme celles où la lumière de chaque anneau
cesse d’être sensible, en se dégradant continuellement depuis
sa partie la plus brillante, qui peut sans erreur être fixée ap
proximativement au milieu de la largeur de chaque anneau.
Ceci bien entendu, désignons par e l , E ( les épaisseurs de la
lame d’air à ces limites, relativement au premier anneau réflé
chi ; par e 2 , E 2 les épaisseurs correspondantes relativement au
second anneau, et ainsi de suite jusqu’au ri 1 anneau , pour
lequel les épaisseurs extrêmes de la lame d’air seront E n ;
les épaisseurs de l’air aux parties les plus brillantes de ces an
neaux , pouvant être censées des moyennes arithmétiques entre
celles qui répondent à ces limites , elles auront pour valeurs
tu***'?**
^metre extérieur
[e lanneaa.
e, 4- E t e 2 -f- E 2 e 3 -f- E 3 e n -{- E„ .
, j . .. et en general — relati-
2 2 2 2
vement au n e anneau. De même les épaisseurs de l’air dans la
1 n
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p, 0.68' 4
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partie la plus sombre des intervalles obscurs, pouvant être
censées la moyenne des limites qui terminent ces interv ailes ,
elles auront successivement pour valeurs ‘ f —— , ■ a 3 , . .
2 2
E n -j •"f— G n A
et en général ——, relativement au n — i e intervalle j
Tome IV. 4