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parce que la petite cavité qui se forme en cet endroit-là favorise
l’opération par laquelle on doit ajuster l’instrument. Cette opé
ration consiste à échauffer un peu avec la main l’air de la boule
vide, pour en faire passer quelques bulles dans l’autre boule ;
après quoi, retirant la main, le ressort de cet air condensé
force la goutte liquide à descendre. Les boules sont soufflées
aussi égales qu’on peut les faire en les jugeant à l’œil, et on
leur donne entre quatre et sept dixièmes de pouces en dia
mètre. Le tube qui contient la bulle , et sur lequel on fixe une
échelle divisée, doit avoir un diamètre intérieur bien égal, et
d’un quinzième ou d’un seizième de pouce. Il n’est pas nécessaire
que le calibre de l’autre tube soit aussi régulier -, mais il doit
être sensiblement plus large, afin que l’expansion ou la con
traction de l’air qu’il contient, étant plus sensible, fasse mou
voir la bulle colorée, au moindre changement de température.
Chacune des branches de l’instrument a de trois à six pouces
de haut, et les boides sont éloignées l’une de l’autre de deux
à quatre pouces. La partie inférieure du siphon est collée vers
le milieu à une tige déliée, qui se fixe sur une base solide
d’une hauteur convenable. Un instant d’attention suffit pour
faire voir que cet instrument ne peut être affecté que par
la différence de chaleur des deux boules correspondantes, et
qu’il est construit de manière à mesurer cette différence avec
la plus grande précision. Tant que les deux boules sont de
même température, à quelque degré que cette température
s’élève, l’air contenu dans l’une ne peut manquer d’avoir la
même élasticité que l’air contenu dans l’autre ; et par consé
quent la liqueur colorée qui les sépare, pressée par deux forces
égales et opposées, doit nécessairement rester stationnaire.
Mais si, par exemple, la boule dans laquelle on a fait d’abord
passer une partie de la liqueur colorée vient à être échauffée
plus que l’autre, l’élasticité supérieure de l’air qui y est
contenu chassera devant lui cette liqueur, et la forcera de
s’élever dans la branche opposée, jusqu’à une élévation pro
portionnée à l’excès d’élasticité ou de chaleur. On peut même