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l’appareil a cou 
Tournions T1 exc 
l’air, à l’inste 
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a premier vola® 
t. 
vitesse da riF* 
ticulières da 
le» logarithmiq«« 
DANS DES MILIEUX INDÉFINIS. (¡21 
valeur de T à l’époque d’après les observations. En répétant 
cette épreuve sur quelques unes, j’ai trouvé pour moyenne 
^ — o,ooi8 77 85. 
Pour montrer jusqu’à quel point la formule ainsi déterminée 
satisfait aux expériences , j’en ai déduit le tableau suivant : 
Epoques des 
observe» tiou s. 
Valeurs de t 
ta minute'« 
Valeurs de T, 
calculées. 
Température 
de l’air. 
Températures de l’appa 
reil. 
calculées. 
observées. 
IO!> 3 / 
0 
66,00 
43,5 
i.,().5o 
109,00 
i r 3o 
60 
5o,q2 
44)0 
9 <,9 2 
94,00 
12 25 
ll5 
40,14 
44,o 
84,14 
84,00 
r 3o 
180 
3o,3o 
43,5 
73,8o 
74,25 
I 2 3o 
240 
23,38 
43,5 
66,88 
68,12 
On voit que le calcul et l’observation s’accordent d’une manière 
satisfaisante. Si l’on fait le même calcul pour l’appareil vêtu 
de toile , on trouve 
— =3 0,00264483. 
M ^ 
Ce coefficient est plus grand que pour le premier, parce que 
le refroidissement est plus rapide. 
J’essaierai encore la formule sur une série d’observations 
que j’ai faites dans les Alpes, à l’hospice du grand Saint- 
Bernard , avec une sphère solide de cuivre doré, au centre 
de laquelle plongeait un thermomètre. Pour chauffer cette 
sphère , on la plaçait dans un étui de fer-blanc, que l’on plon 
geait dans de l’eau bouillante, et lorsque le thermomètre inté 
rieur était devenu stationnaire , on la portait dans une chambre 
froide , où on la suspendait par trois cordons ; après quoi l’on 
observait l’abaissement progressif de sa température. Lorsque 
cette expérience fut faite , le baromètre marquait o m ,574i ■> 
et le thermomètre dans l’air de la chambre -f~ 12°,2, division 
centésimale. Il n’a pas varié sensiblement.