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DANS DES MILIEUX INDEFINIS.
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34
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pan de 11 trois«
: a été 53°. J’ai »
cellwi avec i a ^
q,8 ; l’intervalle t,
• oa 66,83. Avec «a
rses époques inter
pi montre l’accori
6a3
Epoques des ob
servations.
Valeurs de t,
en minutes.
Valeurs de T,
calculées.
Températures
de l’air.
Températures de
l’appareil,
calculées.
observées.
0
0
0
0
o h 4q' 40"
o f 0"
40,8
12,2
53,0
53,0
I X IO
11 3o
36,o3
12,2
48,23
43,0
32 O
22 20
32,04
12,2
44,20
44,0
24 3o
34 5o
»7)99
12,2
40,19
40,0
38 20
4» 4o
24,10
I 2,2
36,3o
36,o
56 3o
66 00
19,80
12,2
32,00
32,0
On voit que l’observation et le calcul sont parfaitement
d’accord. J’avais fait la même expérience à Paris, avant mois
départ, sous une pression de o m ,76, et je l’avais trouvé un
CL
peu plus rapide, le coefficient — m’ayant paru être alors
o,oooSoqBô. Mais je ne donne pas ce résultat comme sûr ,
par deux raisons , dont la première est que le contact du
thermomètre avec le métal peut n’avoir pas été identiquement
le même dans les deux expériences ; et la seconde , c’est que
la vitesse absolue du refroidissement peut n’être pas non plus
égale dans des chambres différentes, quelque vastes qu’elles
soient, si le revêtement de leurs parois n’est pas identique«
ment le même. Il conviendrait donc de répéter l’expérience
en s’assurant bien de ces deux conditions, et cela servirait
à connaître dans quelle proportion le rayonnement du calo«
rique et le contact de l’air contribuent au refroidissement total»
On pourrait peut-être encore parvenir à démêler cette pro
portion en faisant refroidir un même corps dans un grand
manomètre où l’on introduirait de l’air sec à diverses densités •
mais, dans ce cas, la masse d’air en contact avec le corps étant
fort petite , et les parois du manomètre très-peu distantes, l’in
fluence de ces parois sur le progrès du refroidissement serait
très-considérable. Nous en avons eu , M. De Candolle et moi,
une preuve trop certaine dans une suite d’expériences où nous
observions le refroidissepient et le réchauffement d’un ther