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DANS DES MILIEUX INDEFINIS. Q 2 5
partons de la seconde observation, où la marche du réchauf
fement a dû commencer à être régulière. Nous aurons pour
l’un et l’autre appareil T 0 — 6ta,5 — 44,7g — 17,75. Avec
cette donnée , et les coefficiens trouvés plus haut , calculons
la température des deux appareils pour l’avant-dernière obser
vation , relativement à laquelle on a t~ 208. Nous trou
verons pour le premier 55,8 , au lieu de 54 que donne l’expé
rience , et pour le second 58, au Heu de 56,5. L’un et l’autre
se sont donc réchauffés un peu plus lentement qu’ils ne s’étaient
refroidis, ce qui peut tenir à la disposition différente du
local. Malgré cette différence, la loi logarithmique subsiste
pour ces séries ; car il suffirait, pour les représenter, d’afiai-
a
bhr un peu les valeurs de —
v M*
Mais voici des exemples qui la confirmeront plus sûre-
xnent encore. Ce sont des expériences que nous avons faites
il y a fort long-temps, M. Decandolle et moi, sur le réchauf
fement et le refroidissement de divers liquides contenus dans
un vase de porcelaine , au centre duquel était placé un thermo
mètre fixe. Les variations de température s’observaient, non
pas dans l’air , mais dans des bains d’eau froide ou d’eau
chaude, qu’on maintenait à une température constante pen
dant la durée de l’expérience, ou plutôt qui s’y maintenaient
d’eux-mêmes par leur masse et par la nature peu conductrice
des vases où l’eau était renfermée. Je citerai les observations
relatives à l’acide sulfurique. Je ferai remarquer en passant
qu’il ne faut pas chercher une loi simple dans les variations de
température des liquides évaporables , à moins qu’ils île soient
hermétiquement enfermés , puisque les vapeurs qu’ils émettent
s’élèvent toujours aux dépens de leur propre chaleur,