Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

lre i '1 est 
autant fc 4 
e s"t et même® 
li?s pour les Jeu 
'w surfaces, % 
s tout-à-I’heure,ilest 
In ®ème temps i» 
’’'les pour le disqte 
disque nu. Il fais 
sur chacun d'ensn 
î contraire, de ma- 
’ de calorique qui 
s du calorique qui 
iqae disque agit le 
oient les parois de 
liierement sous un 
, comme le prou- 
a 5 , il en absorbe 
roisième. Or, les 
echauffement des 
plus la facilité de 
î , plus la facilite 
insidérable. Mail 
les échanges dais 
■s deux propriétés 
de température, 
i surfaces par lés 
ât d'une manière 
n de nos disques 
de calorique doit 
•oportion f- du ci 
fcduira la qnan- 
je réfléchira sui* 
à l’angle d’inci- 
ilsqne reste con- 
sorte pat I e P 0 “ 1 
ntité complu®’ 
SUR LE RAYONNEMENT. 
taire I^î, qui, s’ajoutant à I ( i —^4), reproduise la quantité I 
primitivement incidente. Cette portion rayonnée Iy peut elle- 
même être considérée comme provenant d’un fdet intérieur di 
rigé suivant r M.» et ayant une intensité égale à I; ce fdet, 
arrivant en M à la surface du disque, y éprouve exactement 
le même effet que le filet venu du dehors. Une portion T (1 —y.) 
se réfléchit intérieurement suivant Mr, prolongement de 
RM, en faisant l’angle de réflexion égal à l’angle d’incidence, 
tandis que le reste \y sort du corps et s’unit au filet réflé 
chi extérieurement suivant MB.'; de sorte que la quautité 
totale de calorique I(i—y)-\-ly, renvoyée dans cette 
direction, est encore égale à I, c’est-à-dire, la même avant 
et après l’incidence , ce qui maintient l’égalité des échanges 
avec les parois de l’espace , et par suite l’égalité de température. 
Cette considération, que l’on doit à M. Fourier, est, comme 
on voit, indépendante de la valeur particulière de la fraction y, 
c’est-à-dire, de l’état des surfaces par lesquelles le corps que l'on 
considère est terminé; et la permanence de sa température repose 
uniquement sur ce que la force, soit absorbante, soit réfléchis 
sante de chaque surface , agit avec une énergie égale sur le 
calorique venu du dehors , et sur celui qui rayonne du dedans. 
Mais la diversité des valeurs de y n’est indifférente que dans 
le cas unique de l’égalité de température. Car, si la surface 
SMS' a une température plus haute que l’espace qui l’envi 
ronne , elle réfléchit bien toujours la même proportion y des 
fdets, tant extérieurs qu’intérieurs, qui lui parviennent, du 
moins dans les limites de température auxquelles s’étendent 
les expériences de De Laroche , sur les miroirs ; mais l’intensité 
F de ces derniers étant plus considérable que celle des autres, 
la déperdition F y est plus grande que l’absorption I y, et 
conséquemment la température de celte surface doit s’abaisser. 
Ce serait le contraire, si elle était plus basse que celle de l’espace ; 
car alors F serait moindre que I , et la quantité l'y, émise par 
le rayonnement, serait moindre que la quantité Iy , absorbée 
en temps égal; de sorte que la surface SMS', ou plutôt le 
corps qu’elle termine, se réchaufferait. Tous ces résultats sont 
exactement conformes à l’observation ; mais la théorie de
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.