Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

653 
ACES 
Cetteej P'*4 W 
nnf 
P » ® %w, 
fa *ff«t tonjomj 5 
’» iasqnellesiiiiii? 
a fie » 3>I, il t ai 
diffèrent le» m| 
'<nmnt,etpoirt 
rayons émerjeiisï 
r une certaine f» 
me de tons ces no 
où ils sont saisi 
nstant; elles termes! 
mfifé J, (font la vale 
s possibles du Taj 1 
^ d'ane même nal® 
étendue. On obtia 
s étant ainsi coras, 
onc de cône SPH 
•e dn serment flèti 
\t l’ange an cent' 
tiw superficielle 
irffBD rayon égi 
•, l’étendue de cti 
par laquelle il b 
ir Faction total«« 
«S', et quipw* 
¡ette multiple® 
on simple 
jection de Vétcné 
’élément dî. ^ 
calorique f‘ :: 
SUR LE RAYONNEMENT. 
ment superficiel ds reçoit ainsi de tous les points des parois envi 
ronnantes , il n’y a qu’à effectuer la somme de toutes les expres 
sions lu sin tp ds, données par tous les cônes , en nombre infini, 
qui, partant des parois, peuvent avoir cet élément pour base; 
ce qui limite la somme de tous les angles a à une demi-sphère , 
ayant pour centre le point M. Dans cette sommation , les 
facteurs I et ds, resteront constans, puisqu’il s’agit tou 
jours du même élément superficiel ds, et que, d’après l’uni 
formité de nature et de température des parois, I est le même 
dans toutes les directions possibles. Ainsi, en représentant 
par ît la somme de tous les produits a sin <p , l’effet cherché 
sera représenté par Ixd s. Maintenant, tous les élémens de cette 
expression restent les mêmes , quelque part que l’on place 
l’élément superficiel ds ; car le facteur I ne dépend que de la 
nature des parois, que nous supposons partout la même ; et 
la somme des produits a sin <p est constamment la projec 
tion d’une demi-sphère sur le plan de cet élément. Con 
séquemment , quelque part que soit situé l’élément ,ds, il 
recevra des parois la même quantité de calorique rayonnant, 
dans un temps égal. Si l’on conçoit une infinité d’élémens pa 
reils , arrangés à côté les uns des autres de manière à former 
la surface s d’un corps , la quantité totale de calorique reçue 
par ce corps sera composée de toutes celles que reçoivent ces 
élémens; elle sera donc égale à I.sn, c’est-à-dire qu’elle sera 
proportionnelle à la surface totale du corps, et qu’elle sera 
encore la même, quelque part qu’il soit placé. 
Ceci s’applique seulement à la portion émise par rayonne 
ment ; voyons à calculer de même la portion régulièrement 
réfléchie. Or rien n’est plus facile que de la déduire de ce qui 
précède. En effet, en considérant de nouveau l’élément S S' 
qui, vu du point M, soutend un angle conique <a, si l’on conçoit 
une multitude infinie de rayons calorifiques tombant sur cet 
élément dans toutes les directions possibles, et réfléchies de 
même en faisant l’angle de réflexion égal à l’angle d’incidence, 
l’effet de leur retour sera exactement pareil à celui d’une éma 
nation rayonnante qui partirait de tous les points de l’élément 
superficiel SS', et s’étendrait indéfiniment dans l’espace. Le
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.