JT.
CALORIQUE LATENT. gg^
séparés par de petites tringles de métal, qu’il serait mieux de
faire en bois ou en verre. L’intervalle de ees deux vases est
V.
rempli de glace pilée en petits morceaux , et tassée de manière
ur k Calorique^
à former une enveloppe continue. Pour l’y introduire, on
enlève le couvercle AB, et ensuite on le replace. Il est clair
qu’en prenant soin de renouveler constamment cette glace, à
0(15 3Tons rapport«
a communication dta
(iss accroùsemensoi
t maintenant chercic
; «s variations etls
ou dégagées parle
:uliereraent propre i
>r sur la nature di
mesure qu’elle vient à fondre par l’effet de la température
de l’atmosphère, supposée plus haute que o°, le vase intérieur
A' B' C' D', et la capacité qu’il renferme seront maintenus
constamment à zéro. Mais pour pouvoir effectuer ce renou
vellement , il faut soustraire l’eau, qui se forme par cette fusion
progressive ; tel est le but d’un robinet latéral placé à la partie
inférieure de l’intervalle des deux vases.
Maintenant, dans le vase intérieur on en suspend un au're
plus petit A"B"C"D", formé d’un simple treillage de fil de fer ,
et destiné à renfermer les corps que l’on veut faire refroidir.
ces rapports consist;
«renient de plus»
' le calorique qui s’o
rs identique,douta
a cet avantage das
que la glace fondant;
laleur qu’on lui coït
fondre. Si donc «
te,et qu’on présent;
nouvelle quantité à
wbublealui-am
fondue exigera №■
* chaleurp de#
1ère, qu’on ne peï
u peut peser. H*
; tel est l’objet i
ont imagine et «î
L’intervalle entre ce troisième vase et A'B' C/ D' est également
rempli de glace pilée en très-petits morceaux , qu’on y introduit
de même en levant le couvercle A/ B' ; et l’eau qu’elle produit,
à mesure qu’elle vient à se fondre, s’écoule par un robinet
inférieur R f dans un vase où on la recueille pour la peser
exactement. Cela posé, admettons pour un moment que l’air
extérieur n’ait aucun accès dans l’intérieur du calorimètre.
Alors, après un temps plus ou moins considérable, la glace
intérieure arrivera à la température de l’intervalle extérieur,
c’est-à-dire à o° , et elle se maintiendra à ce degré invariable
ment , tant que l’enveloppe extérieure de la glace ne sera pas
tout-à-fait fondue; mais introduisez dans le vase A^B' C^D'
un corps dont la température soit élevée au-dessus de zéro : ce
corps se refroidira graduellement, et en se refroidissant, il
fondra la glace environnante, ce qui produira une certaine
quantité d’eau qui s’écoulera par le robinet inférieur R'. Si
l’on recueille cette eau et qu’on la pèse , elle sera évidemment
la mesure de la quantité de chaleur dégagée par le corps en se
imblables, ABCD
il«, et mainte!®
refroidissant jusqu’à o°.
L’expérience, pour être bien faite, exige quelques précau-